Jeux à deux

Mardi 7 novembre 2 07 /11 /Nov 22:43

Voici le récit d’une fin de la soirée pas si ordinaire.

 

Par un froid samedi soir d’automne nous avons fait appel à une nouvelle baby-sitter Ukrainienne qui devait garder notre fille pendant que nous devions dîner chez un couple libertin croisé sur un site d’annonces.

La baby-sitter s’est révélée jolie, petite, un peu ronde mais charmante. A faire regretter qu’elle ne s’occupa que des enfants J

Nous pouvions partir l’esprit tranquille dans le sud de la région parisienne rencontrer ce couple.

 

La soirée avait pourtant débuté par une déception : la guêpière ancienne que j'avais trouvée sur Ebay récemment nous a fait défaut. Elle allait pourtant si bien à Tiffany quand elle l’avait passé la première fois ! Ce n’était pourtant pas évident tant ce type de guêpière seins nus peut être vulgaire…. Mais là non, peut être était ce la coupe années 60 ou la couleur qui faisaient qu’elle allait à merveille à Tiffany.

Elle devait la porter avec juste une paire de bas mais l'une des jarretelles n'a pas tenue le choc et a lâché quand madame s'habillait... Le caoutchouc, trop vieux, s’est coupé tout seul sous le poids des ans.

 

Devant cet imprévu j'ai demandé à Tiffany de remplacer la guêpière par le serre taille noir à poids blancs qu'elle portait lors d'une séance de photos réalisée dans l'escalier de notre ancien immeuble à l’occasion de notre anniversaire de mariage.

 

Par dessus le serre taille et les bas elle a passé une robe noire et des chaussures vernies très fétichistes que j’adore.

 

Nous sommes parti un peu en retard du fait de ce petit problème. La route a été longue mais sans encombre et nous ne nous sommes pas égarés.

 

La soirée a été agréable et le repas fort bon...

Les discussions d'après dîner émoustillantes à souhait....

Mais la fatigue générale faisait qu’il semblait difficile de vouloir se lancer dans des coquineries…

 
 

Nous sommes donc partis un peu après minuit pour une quarantaine de minutes de route devant nous et j'avais un peu peur de m'égarer au début du trajet car je connais fort mal cette partie là de la région parisienne.

Nous n'avons pas rencontré grand monde et une fois sur la nationale 118 je commençais à me détendre.

De part son bavardage je sentais à mes côtés Tiffany assez excitée et je lui demandais de retrousser sa robe.

Je glissais ma main entre ses cuisses et écartais ses lèvres. Elle était déjà ruisselante et ne demandait qu'à être caressée.

Je m'y suis employé et mes doigts ont commencé une danse lente autour de son clitoris.

Très vite cependant j'ai été obligé de me concentrer sur la conduite tant les virages de l'arrivée sur Paris sont nombreux et dangereux.

Je l'ai donc laissé se caresser pendant que j'entrais dans Boulogne ratant au passage l'embranchement des quais de Seine.

Je réussis après quelques tâtonnements à me remettre dans le droit chemin et repris les caresses sur le sexe dégoulinant de mon épouse. Mais le fait d’être obligé de me concentrer également sur ma conduite m’empêchait de l’amener correctement vers la jouissance.

Au bout de quelques kilomètres trouvant enfin un coin tranquille je me suis garé en bordure du bois de Boulogne pour que nous puissions nous consacrer entièrement à son plaisir....

Quelques instants ont alors suffi et sa jouissance a été très explosive, si forte que le siège en a été inondé.

 

Un homme promenant son chien a été sûrement témoin d'une partie de la scène. Le froid et la présence de ce voyeur inattendu ne nous a pas incité à poursuivre les (d)ébats.

De plus le compteur de la baby-sitter continuait à tourner.

Nous sommes donc rentrés avec un siège doté d'une belle auréole....

Ennuyeux quand on doit raccompagner une baby-sitter…

 

J'ai expliqué à la demoiselle que nous avions renversé une boisson pendant le trajet pour justifier la serviette que j'ai posé sur le siège alors que je la raccompagnais vers son domicile.....

Je pense qu'elle ne s'est doutée de rien
 

Quand je suis rentré Tiffany a enfin pu s'occuper de moi

Mais cela c'est une autre histoire :-)
 
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 14:04

Après les fiançailles il y a le mariage

Après le mariage il y a les anniversaires de mariage....

Logique me direz vous.

Voici comment nous avons fêté cela......

T & P

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 14:02
Nous fêtions ce soir là notre anniversaire de mariage. C’était la première fois que nous sortions en cet honneur alors que nous étions mariés depuis trois ans. Pour cela nous avions évoqué l’idée d’aller au restaurant mais sans fixer exactement le programme de la soirée. De plus comme Tiffany s’était chargée de l’organisation de notre dernière sortie gastronomique, tous les détails de l’organisation m’incombaient cette fois ci. J’avais hésité longuement entre un restaurant italien haut de gamme et un restaurant gastronomique dans un hôtel du seizième arrondissement parisien pour finalement retenir cette dernière solution. Je pensais, à juste raison, que nous pourrions y tenir une conversation plus tranquille et le menu me paraissait plus léger et original. J’avais donc réservé une semaine avant la date prévue pour être sur d’avoir une table.
 
J’avais également décidé d’offrir à Tiffany un joli porte-jarretelles noir à pois blancs de la marque Lise Charmel que j’avais acheté quelques jours plus tôt. Le paquet cadeau l’attendait sur le lit, posé sur son oreiller pour qu’elle le trouve dès son arrivée. Il était accompagné d’une carte poste achetée au Musée de l’Erotisme représentant le dessin d’une femme aux seins reliés par une chaîne munie de pinces. Au dos ces quelques mots :
 
« Accompagné d’une jolie paire de bas et de chaussures ce sera parfait. Bon anniversaire ».
 
Je voulais qu’elle ne porte comme lingerie que ce porte-jarretelles et des bas, sachant que si l’idée de sortie nue sous une jupe la tente beaucoup sur le plan intellectuel, Tiffany a toujours beaucoup de mal à passer à l’acte. Autant je la sentais tentée quand nous en discutions, autant chaque fois que je lui demandais elle redevenait soudain très pudique et timide. Sûrement un reste de son éducation bourgeoise agissant comme une barrière face au risque que quelqu’un la devine quasi nue. J’avais dans l’idée de lui faire porter une jupe et un chemisier assez fin. La jupe me permettant de la caresser durant les trajets, le chemisier laissant deviner sa poitrine libre et l’excitation de ses tétons. Cependant au moment de partir Tiffany manifesta l’envie de remettre une robe en lin rose et gris qu’elle n’avait plus remis depuis le mariage civil et qui lui allait fort bien. Elle choisit une paire de bas couleur chair et des chaussures à talon beige clair pour harmoniser les couleurs. La particularité de cette robe est qu’elle est boutonnée dans le dos sur toute sa longueur. Cela modifiait pas mal mes plans mais étant donné l’ouverture possible dans le dos cela me laissait tout même quelques perspectives. Pour ma part un sobre costume gris, une chemise bleue nuit à poignets mousquetaires et une cravate sombre constituaient ma tenue.
 
Avant de partir, et après avoir confié Inès à sa baby-sitter habituelle, je glissais mon appareil photo numérique dans le sac de Tiffany. Nous avons ensuite pris un taxi direction le seizième arrondissement. Tiffany ne savait toujours pas où nous allions et j’avais presque réussi à lui faire croire que notre anniversaire de mariage se déroulerait dans un club échangiste ce qui ne lui plaisait que très modérément. Je la sentis se détendre quand le taxi nous déposa devant l’hôtel Sofitel Baltimore de l’avenue Kléber.
 
En sortant de la voiture elle me glissa
-         J’avais pensé que peut-être tu réserverais une chambre d’hôtel
Elle pensait sans aucun doute à la façon dont je lui ai avais souhaité son anniversaire quelques mois à peine après notre rencontre en réservant une chambre dans un hôtel assez spécial proche de la place Clichy. À l’époque j’avais organisé un pique nique coquin dans la chambre ainsi que la première d’une longue série de séances photos dans laquelle Tiffany tenait la vedette. La présence de l’appareil dans son sac rendait cette idée parfaitement plausible. Je souris à ce souvenir et lui répondis que non cette fois ci je l’amenais au restaurant.
 
Nous pénétrâmes dans le restaurant du Baltimore dont seules quelques tables étaient occupées. Le maître d’hôtel nous plaça quasiment au centre de la salle et après nous avoir demandés si nous étions allergiques à quelque chose nous souhaita un bon appétit et nous laissa aux bons soins du sommelier et d’un chef de rang.
 
En apéritif nous eûmes droit à une flûte de champagne Deutz millésimé de très bonne facture et le repas fut à l’avenant. Voici le menu et les différents vins qui nous furent servis durant la soirée.
 
LE FOIE GRAS DE CANARD
En ballottine, marmelade de figues au gingembre, fine croustille
Accompagné d’un étonnant vin de la région du Cap en Afrique du Sud à la manière d’un Porto
LA SARDINE
Farcie puis frite en feuille croustillante, sauce aigre-douce
Accompagnée d’un Sauvignon d’ Afrique du Sud
LE ROUGET
Rôti entier sur un lit de sel au romarin, crémeux de courgette au curry
Servi avec un blanc de la région de Sartène
LA VOLAILLE
Le suprême cuisiné en fricassée au vin jaune, champignons du moment aux herbes
Accompagnée d’un Bordeaux rouge
L'ABRICOT
Confit dans un jus de noyau, meringue juste raidie, glace à la coriandre
 
Café et Mignardises
 
Inutile de vous dire que nous avons mangé avec délectation ce qui fut présenté. Un vrai délice. Pas de grosses portions mais des plats raffinés et un mélange de saveurs étonnant.
Nous avons parlé de choses et d’autres et en particulier de nos rencontres passées et futures, de cette dernière soirée à dominante SM dans laquelle j’avais été beaucoup spectateur et Tiffany pas mal actrice. Bref, une soirée très agréable en amoureux. Le repas se déroula sans anicroche. Tiffany demanda à la jolie serveuse qui s’occupait de nous de lui indiquer les toilettes. Comme soit disant le chemin était semé d’embûches, Tiffany se fit accompagner, et elle traversa la salle dûment accompagnée, quasi nue sous sa robe légère suivie du regard par la plupart des clients. Des hommes quasi exclusivement.
 
Lorsqu’elle revint, elle m’avoua qu’elle n’avait qu’une peur depuis le début de la soirée : qu’un bouton de sa robe craque et qu’elle se retrouve fesses nues aux yeux de tous ! Il faut dire que la robe est particulièrement ajustée et que Tiffany a souvent la tentation de marcher à grandes enjambées rendant ainsi risquées pas mal de déplacements. En cas de problème elle avait prévu une culotte qu’elle avait placée dans son sac. Je lui fis tout de même remarquer que dans ce cas il aurait fallu qu’elle prenne son sac avec elle pour aller aux toilettes au lieu de le laisser aux pieds de sa chaise. De plus pourquoi ne pas avoir pris un imperméable plutôt que la courte veste en cuir. Le risque me semblait dès lors parfaitement assumé.
 
Le seul incident notable eut lieu au café. La serveuse était en train de verser son thé à Tiffany quand d’un mouvement un peu brutal elle envoya valser la tasse de café qui m’était destinée. J’échappais par miracle au café et devant le désastre le maître d’hôtel décida de nous changer de table. La demoiselle était très confuse et nous l’avons un peu taquinée. Notre nouvel emplacement nous offrait une vision différente de la salle et des serveurs qui s’occupaient des tables encore occupées. Je remarquais en particulier que la jolie serveuse arborait un petit tatouage discret à la cheville gauche. Placé comme je l’étais, je n’arrivais pourtant pas à en deviner le motif. Je signalais le tatouage à Tiffany qui après avoir sans succès essayé de distinguer me dit :
 
-         J’ai l’impression de la troubler quand je lui parle
-         J’ai remarqué, répondis-je
 
Et en effet la serveuse semblait un peu perturbée chaque fois que Tiffany lui adressait la parole. Peut être s’agissait-il là d’un effet de notre imagination stimulée par le bon vin et le champagne mais le sentiment que Tiffany pouvait troubler cette demoiselle allumaient nos deux regards.
 
Nous avons quitté le restaurant vers vingt trois heures et nous avons décidé de marcher un peu en direction du Trocadero pour y chercher un taxi. Nous n’étions pas complètement arrivés sur la place quand une voiture se présenta. Lorsque nous fûmes à l’intérieur je murmurai à l’oreille de Tiffany « Défait deux boutons de ta robe ».
Elle me sourit et en se tortillant parvint à défaire les deux boutons situés juste sous ses fesses. Malheureusement et malgré nos tentatives communes je ne parvins pas à la caresser durant le trajet. Je suis pourtant persuadé que Tiffany aurait adoré mais l’étroitesse de la robe ne le permettait pas. Nous avons cependant traversé la moitié de Paris, elle le robe largement ouverte sur ses fesses et moi ma main malaxant ses deux globes de chair.
 
Arrivés devant chez nous et alors que je payais le taxi je sentis que Tiffany était en train de reboutonner sa robe. Je la poussais dehors sans lui laisser le temps de fermer complètement les boutons et plaçais ma main sur ses fesses pour la guider jusqu’à chez nous. Un autre taxi étant en train de déposer des gens juste devant l’immeuble voisin du notre, notre chauffeur avait du nous laisser un peu plus haut dans la rue juste devant le théâtre. Il y avait encore pas mal de monde sur le trottoir malgré l’heure tardive et Tiffany pressa le pas bien que nous soyons sur le trottoir d’en face. Sans doute la peur d’être découverte les fesses à demi nues. Nous avons cependant atteint notre immeuble sans déclencher d’émeute. Une fois la porte d’entrée poussée j’ai demandé à Tiffany l’appareil photo qu’elle avait gardé dans son sac toute la soirée et, après avoir défait quelques boutons supplémentaires de sa robe je pris quelques photos de ses fesses dans le sas de l’immeuble. Nous franchîmes la seconde porte pour nous retrouver au pied de l’escalier.
-         Enlève ta veste, demandais-je à Tiffany
 
Elle s’exécuta. Et j’ajoutais quelques clichés à ma collection. Vu l’heure tardive et le peu de risque de croiser quiconque dans l’escalier je lui fis enlever complètement sa robe malgré sa réticence. Je la dirigeais à mi-voix, lui demandant de monter, descendre, de se pencher sur la balustrade etc. La séance dura une bonne dizaine de minutes et une vingtaine de photos vinrent s’ajouter aux précédentes. Inutile de dire combien ce petit jeu nous avait excités.
 
Quand nous avons finalement regagné l’appartement nous avons presque chassé la baby-sitter pour prendre la direction de notre chambre! Comme vous vous en doutez, les fesses de Tiffany furent au centre de nos jeux. Nous nous sommes endormis fort tard et il est fort probable que nous fêterons dorénavant chaque année notre anniversaire de mariage.
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Mardi 19 septembre 2 19 /09 /Sep 14:29

Nos fiançailles n’ont pas donné lieu à de grandes réjouissances familiales. Pas de grand-mère émue aux larmes, gardons cela pour le mariage, pas de tonton Bernard pour raconter des histoires salaces qui font rougir les vieilles dames de l’assemblée.

Nos fiançailles n’ont pas été non plus l’occasion de présenter les deux familles. Pour cela comme pour le reste nous attendrons la cérémonie officielle.
Non, nos fiançailles ont été l’occasion d’aller dîner dans un restaurant normalement au-dessus de nos moyens et de nous offrir mutuellement des beaux cadeaux. C’était là la seule chose traditionnelle de cette cérémonie qui n’a, aux vues des évènements de fiançailles que le nom. En matière de cadeaux il n’y avait pas de surprise : Tiffany allait enfin pouvoir passer à son doigt la bague qu’elle avait fait faire par un joaillier, quant à moi il était dit que je recevrai un splendide chronographe ancien que je cherchais depuis fort longtemps.
 
Pour ajouter une saveur particulière à l’évènement, la date que nous avions choisie coïncidait au jour anniversaire de notre rencontre. Pouvions nous faire plus romantique ? Difficile n’est ce pas !
 
Il était convenu que je m’occuperai du choix du restaurant.
 
Je voulais surtout quelque chose d’intime et d’original. Tiffany ayant mis comme condition que ce fut un restaurant de cuisine française.
 
Le choix s’est très rapidement porté sur un vénérable restaurant établi depuis plusieurs siècles en face de la conciergerie, à une encablure de Notre Dame, et réputé pour la discrétion de son personnel et l’histoire amoureuse des ses petits salons privés. Les gourmets et les coquins auront sans doute reconnu le lieu. Il se dit même que Colette y écrivit une nouvelle intitulée « La Chatte » et que des messieurs fortunés du temps jadis y amenaient leurs conquêtes pour les lutiner. Ils pouvaient ainsi échapper aux foudres matrimoniales car, selon la légende, l’adultère ne pouvait être constaté dans un lieu public. Et les petits salons clos du restaurant malgré leur caractère intime étaient considérés comme des lieux publics…
 
Je réservais donc un petit salon pour deux sans dévoiler à Tiffany le nom du restaurant.
 
**
*
 
Le samedi soir venu, je choisis la tenue de Tiffany : une jupe sexy sage qu’elle venait de s’acheter, des bas couleur fumée. Pour la lingerie j’avais acheté dans l’après midi un ravissant petit string bleu nuit auquel j’ajoutai un serre-taille de satin noir l’emprisonnant jusque sous les seins mais les laissant libres d’accès. Un pull au décolleté assez profond vint se superposer au serre-taille. Pour les chaussures, nous avions choisi ensemble une paire à talons bobine et à lanières qu’elle porte plutôt en été. Pour les bijoux, une paire de perles baroques en guise de boucles d’oreilles, un jonc en argent autour du coup et une aigue-marine montée sur or blanc comme seule bague.
 
Pour ma part un classique costume gris anthracite, une chemise à petits carreaux et une cravate bleue formaient ma tenue.
 
Nous avions réservé pour vingt heures trente et nous nous y sommes rendus en taxi. Quel plaisir de caresser les genoux de ma belle pendant que nous attendions dans les embouteillages ! Tiffany était tout excitée car elle venait d’entendre le nom du restaurant que j’avais donné au chauffeur et ce nom évoquait pour elle voyage, terres lointaines et aventure.
 
A l’entrée du restaurant une ravissante demoiselle au décolleté généreux pris nos manteaux et nous la suivîmes dans l’escalier pour monter à l’étage où notre salon était réservé.
 
Elle nous ouvrit la porte et nous découvrîmes l’endroit où nous allions dîner. Une petite pièce contenant une table ovale assez vaste pour y placer six convives.
 
Tiffany semblait enchantée par le décor rococo de la pièce aux murs recouverts de toiles peintes, aux boiseries recouvertes de dorure. L’élément le plus amusant du décor était cependant un miroir dont la glace portait d’innombrables traces de rayures. Tiffany me demanda pourquoi ce miroir était si abîmé. Je lui contais donc ce que je savais du restaurant, c’est à dire l’histoire des cocottes et des messieurs fortunés fuyant les constats d’adultères. Je lui contais surtout la pratique de ces dames qui, lorsqu’elles recevaient une bague de leur galant, testaient l’authenticité du diamant en rayant la glace du miroir.
 
Tiffany aurait pu être tenté par la même chose mais le serti clos du diamant de sa bague le lui interdisait.
 
Nous nous sommes installés, Tiffany sous le miroir et moi face à elle. Sur la table les couverts étaient disposés et les assiettes reposaient dans de vastes assiettes d’argent. Et le ballet commença, d’abord le pain déposé sur de petites assiettes, puis l’apéritif, une coupe de champagne pour chacun accompagnée par des petits gâteaux croustillants. Le menu carte n’offrait pas le choix immense mais suspect de certains restaurants chinois. Il proposait en revanche une palette assez complète de ce que la cuisine française traditionnelle offre de meilleur : du foie gras, du poisson et beaucoup de gibier.
 
Le choix fut, vous l’imaginez, difficile et nous avons du faire appel au maître d’hôtel pour nous conseiller. Et quel le maître d’hôtel ! Rond de corps mais aussi par fonction, onctueux sans être cauteleux, il s’amusait visiblement beaucoup de nos hésitations et des questions faussement naïves de ma compagne. Au final, Tiffany opta pour une papillote de foie gras suivi de ravioles de homards, quant à moi j’avais choisi un menu de poissons avec du thon aux épices en entrée et de la raie au beurre de salicornes comme plat.
 
Le choix du vin fut complexe pour s’arrêter finalement sur un Puligny-Montrachet après avoir hésité sur un Pacherenc du Vic-Bilh sec que le sommelier s’engagea à nous faire goûter malgré tout.
 
Nous avons commencé à dîner très sagement, peut être un peu impressionnés par le lieu et l’enjeu. On ne se fiance tout de même pas tous les jours ! La conversation fut fort sage voire même sérieuse pendant les « amuses bouches » et l’entrée.
 
Tout ce que nous mangions était fort bon et le Puligny-Montrachet à la hauteur de sa réputation. Il commençait d’ailleurs à faire son effet, Tiffany devenait plus loquace et parfois les mots, les siens comme les miens, se bousculaient pour sortir de nos bouches !
 
Lorsque les serveurs nous rendaient visite, ils nous trouvaient de plus en plus souvent en train de pouffer comme deux collégiens. Fort heureusement, ces garçons étaient bien élevés et ils frappaient toujours avant d’entrer. Cela me permettait de reprendre l’air sérieux de celui qui contrôle la situation alors qu’en réalité il n’attend que le départ de l’importun pour dire et faire des bêtises.
 
Tiffany terminait ses ravioles de homard et moi ma raie au beurre de salicornes lorsque je décidais de précipiter les choses. Comme je connaissais la tenue de Tiffany pour l’avoir choisie, je savais qu’elle pourrait accéder à ma demande sans trop d’efforts.
 
Elle venait de poser ses couverts et s’apprêtait à couper un morceau de pain pour terminer sa sauce quand je lui demandais d’ôter sa culotte et de me la donner. Elle me regarda en rougissant comme elle sait si bien le faire mais n’hésita pas longtemps avant de s’exécuter. Il semblait bien que le vin et l’ambiance l’excitaient autant que moi.
 
Elle se trémoussa un peu. Charmant spectacle car la jupe était vraiment très étroite. Elle parvint néanmoins à l’enlever et me la tendit par-dessus la table. Elle était légèrement humide mais sans plus. Connaissant les capacités de ma compagne j’étais un déçu. Je mis la culotte dans ma poche puis lui demandais de se lever et de s’approcher de moi. Je glissais la main sous la jupe et caressais le sexe de Tiffany. Elle était plus mouillée que sa culotte ne pouvait le laisser supposer et sous mes caresses elle ferma les yeux et se laissa aller d’avantage. Mes doigts étaient complètement trempés quand je les retirai.
 
Je renvoyais Tiffany à sa place car j’entendais du bruit dans le couloir : les serveurs n’allaient pas tarder à revenir pour desservir. En effet, après deux coups brefs la porte s’ouvrit et le maître d’hôtel vint nous retirer nos assiettes. Le fromage n’allait pas tarder.
 
Le plateau était alléchant et comme toujours Tiffany ne prit aucun risque alors que je décidais de goûter quelques fromages plus forts en goût. Tout cela serait atténué par le vin et les soufflés au chocolat que nous avions commandés pour le dessert. Il me restait un peu du Pacherenc du Vic-Bilh que le sommelier nous avait apporté pour nous le faire goûter. Sympathique attention qui me permettait de déguster mon fromage en l’accompagnant de ce vin certes très sec mais se mariait finalement assez bien avec ce que je mangeais.
 
Lorsque le serveur revint pour nous débarrasser, Tiffany lui réclama un peu de répit avant d’attaquer le dessert. C’était une excellente idée car je commençais à me sentir rassasié. Et puis je pensais bien mettre à profit ces quelques minutes supplémentaires pour demander à Tiffany de terminer ce qu’elle avait si bien commencée.
 
Je lui demandais de s’avancer sur sa chaise jusqu’à ce qu’elle me touche en tendant la jambe. Je m’approchais à mon tour et saisi sa jambe droite que je posais sur mon genoux. Tout en caressant sa cheville gainée de nylon je lui soufflais :
 
-         Caresses toi.
 
Si j’en juge par la promptitude avec laquelle elle m’obéit elle devait en mourir d’envie. Si j’en doutais encore, ses soupirs me rassurèrent très vite sur son état réel. Je ne voyais rien, je ne pouvais qu’imaginer ce qui se passait sous la table. Les doigts jouant sur le clitoris, s’enfonçant parfois dans un sexe ruisselant pour y chercher l’humidité nécessaire au bon déroulement de son activité illicite. Je l’avais vu quelques fois à l’œuvre mais il est vrai que j’aurais bien aimé la contempler se caresser dans un restaurant. Ce serait peut être pour une autre fois. Elle jouit avec une rapidité et une retenue dont elle est peu coutumière. Sans doute en raison de la présence proche des serveurs dont on ne savait quand ils allaient revenir pour nous amener le dessert.
 
Elle s’affala pantelante sur la chaise et reprit lentement sa respiration.
 
Elle était encore un peu rose de son plaisir quand le serveur apporta deux énormes soufflés au chocolat, spécialité de la maison. Je vint à bout du mien mais Tiffany cala et me demanda de terminer le sien. Ils étaient extraordinaires mais vraiment gargantuesques.
 
Nous nous offrîmes nos cadeaux après les soufflés. Je pus enfin mettre la montre que j’avais eu tant de mal à trouver et Tiffany put passer à son doigt le diamant de sa grand-mère qu’un joaillier avait entouré de deux saphirs et monté sur or blanc.
 
Un café, l’addition et une brève visite du restaurant en compagnie du maître d’hôtel conclurent notre dîner au restaurant. La demoiselle du vestiaire nous apporta nos manteaux et appela un taxi que nous attendîmes au bar quasiment déserté en cette heure tardive.
 
Durant le trajet qui nous fit traverser la moitié de Paris, la main glissée sous la jupe de Tiffany je caressais son sexe encore trempé.
 
A notre arrivée chez nous je la pris sur le canapé sans lui laisser le temps de souffler. J’étais beaucoup trop impatient pour m’embarrasser de préliminaires et je crois que l’état dans lequel se trouvait ma compagne s’accommoda fort bien de la fougue de mon assaut.
 
Nous constatâmes les dégâts ensuite. Peu de choses à dire vrai : le tissu qui recouvre le canapé avait une fois de plus été inondé et la jupe de Tiffany nécessitait un nettoyage au pressing.
 
Tiffany m’a avoué par la suite que la demoiselle de la teinturerie lui avait demandée de quelle nature était la tâche que portait sa jupe et qu’elle n’avait pas osé, vous l’imaginez, lui dire la vérité.
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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