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Bien entendu les demandes de rencontres émanant de messieurs esseulés tomberont dans un trou noir et sans fond.
Mercredi 25 octobre 3 25 /10 /Oct 16:16

Nous connaissons A depuis maintenant plus de cinq ans mais nos dernières soirées coquines passées en commun sont maintenant très anciennes et même si nous sommes en contact régulier par mail et par téléphone nous ne nous étions pas vu depuis près d’un an et demi.

 

Ainsi quand A nous a invité à une soirée dans son appartement que nous ne connaissions pas nous avons sauté sur l’occasion et convoqué la baby-sitter habituelle de notre fille. Nous sommes parti de chez nous vers 20 h 45 vêtus assez normalement pour ne pas effrayer notre jeune pensionnaire.

 

Tiffany portait néanmoins une robe chinoise assez courte pour laisser voir la dentelle de ses bas et juste un petit string noir. Comme la soirée était assez fraîche en ce début juillet elle avait passé par dessus un blouson en cuir noir assez ajusté. Je portais mes bottes militaires, un jean et un tee-shirt noir. Dans un sac j'avais placé mon pantalon en cuir, deux corsets et divers accessoires.

 

La trajet en voiture n’était pas très long bien. Heureusement car le périphérique était particulièrement chargé et que nous souhaitions arriver tôt pour pouvoir discuter un peu avec elle avant qu’elle ne soit happée par le tourbillon de la soirée.

En plus coup de chance nous avons trouvé une place juste devant chez notre hôtesse car avec ses talons et sa robe ultra courte elle aurait fatalement fait sensation...

 

Nous avons donc découvert l'appartement d'A dans lequel nous allions pour la première fois.

Assez vaste et peu meublé genre camping de luxe avec une quantité incroyable de bouquins, surtout des mangas, dans les bibliothèques accessibles, certaines étant pudiquement voilées de noir. Que cachent ses bibliothèques ? Mystère.

Seuls J et M que nous connaissions déjà étaient déjà sur place, installés dans ce qui à l’origine devait être un grand salon salle à manger et dont A avait reconverti une partie en bureau. Les doubles portes séparant les deux pièces ayant été enlevées elle avait ainsi créé une sorte d’alcôve dans chaque pièce. Nous étions installé dans la première sur des fauteuils grand siècle recouverts de velours rouge sombre. Dans le bureau d’A un canapé futon devait servir à faire dormir d’éventuels invités. Mais revenons aux personnes présentes.

 

M est une version déjantée de Louise Brooks dont elle a la coupe de cheveux et le style.

Elle était à peine vêtue d'une combinaison en résille, d'un string et de quelques fanfreluches noires.

A portait un pantalon et un haut en vinyle hyper moulant. Le haut étant ouvert sur un balconnet noir et rose ayant bien de la peine à contenir sa somptueuse poitrine.

 

Nous avons papoté un peu de choses et d'autres au rythme des arrivées.

Le problème qui est apparu assez vite c'est que des invités avaient eux même invité des personnes peu connaisseuses du milieu SM et plutôt intéressés par l’échangisme. Certes les demoiselles étaient jeunes et jolies mais le "dress-code" fixé par A c’est à dire cuir, vinyle, corsets et autres tenues fétichistes était sérieusement écorné. Malgré cela deux couples sortaient du lot, à part nous bien sur! Finalement, le champagne qui coulait à flot aidant, la soirée ne s'annonçait pas si mal. Le premier couple, C et O, respectait le "dress-code" à la lettre. Elle petite, fine, les cheveux sagement attachés en chignon, portant une jupe en cuir noir et un corset de la même couleur. O grand et tout de noir vêtu portait également un pantalon de cuir. En effet j'avais été troqué, dès notre arrivée, mon jean contre mon pantalon en cuir mais Tiffany avait conservé sa robe chinoise me laissant le soin de la rhabiller en cours de soirée. L’autre couple le plus remarquable était composé d’un grand asiatique lui aussi vêtu de cuir nommé Ray et d’une grande jeune femme visiblement d’origine méditerranéenne et dont j’ai oublié le prénom. Elle dérogeait elle aussi à la règle vestimentaire mais son "cat-suit" et son string de résille blanc étaient quand même bien plaisant à l’œil.

 

A nous a glissé que C et O avaient participé le week-end précédent à un film tourné par Francis dans lequel C avait été livrée à cinq hommes sans être au préalable prévenue de ce qui allait lui arriver. Dans la conversation j’ai indiqué à A que j’avais apporté avec moi deux corsets, un pour Tiffany et un autre dont je pourrais habiller un des mannequins présents dans l’appartement. Comme A trouvait l’idée agréable je disparu quelques minutes dans sa chambre le temps de lacer le corset sur le mannequin que j’avais choisi. A mon retour A me demanda de placer le mannequin dans le salon pour que tout le monde puisse admirer le corset violet que j’avais choisi.

 

Je rejoignis Tiffany qui était en grande discussion avec M et C justement à propos de corsets. Je me mêlais quelques minutes à la conversation avant de faire remarquer à Tiffany que sa tenue pouvait facilement être mise en harmonie avec celle de C. Tiffany m’a suivi dans la chambre d’A pour y changer de tenue. La robe chinoise a vite rejoint le sac en toile contenant les accessoires et je l’ai aidée à passer le corset rouge que j’avais choisi. Je l’ai noué assez serré de façon à lui faire une taille très fine. Pour compléter sa tenue j’ai choisi une petite jupe en vinyle qu’elle n’avait jamais portée. Nous sommes revenus dans le salon et Tiffany a pu faire admirer son corset. La discussion s’était poursuivie entre M, O et C. Tiffany trouva une place sur un des fauteuils. Le dos maintenu bien droit par les baleines Tiffany avait du mal à atteindre les petites choses à grignoter qui encombraient la table. Elle demandait donc à M qui s’était assise à ses côtés de lui passer tel ou tel aliment. Et ce qui devait arriver arriva : Tiffany finit par renverser un bol de pistaches que tenait C. Devant le désastre je n’eus pas le temps de demander à Tiffany de ramasser que M s’était agenouillée et ramassais les pistaches en prenant les poses les plus à même de mettre son cul en valeur. O lui assena quelques très légers coups de cravaches et Tiffany tendit la main pour caresser les fesses qui se trémoussaient devant son nez. M, fidèle à son personnage, ronronnait en réclamant plus de claques sur les fesses. Pour inciter ma compagne à l’action elle déchira elle même en partie le collant protégeant son fessier dévoilant sa peau mate et permettant aux coups de marquer d’avantage.

 

Je ne sais pas par quel biais C est entrée dans le jeu mais quelques minutes après les premières claques sur les fesses de M, C et elle se retrouvèrent dans l’autre partie du salon dans laquelle A avait opportunément déployé le canapé qui était recouvert d’un drap de vinyle noir. Toujours est il que C s’était à demi assise, à demi étendue sur le futon, le dos contre le mur, avait troussée sa jupe en cuir sous laquelle elle était nue et M, à genoux entre ses cuisses lapait à petits coups de langue le sexe épilé et orné de deux anneaux qui lui était présenté.

 

Tiffany était debout à mes côtés pour profiter du spectacle. A ma demande elle retira son string pour que je la caresse un peu. J’empochais les quelques grammes de dentelle et glissais ma main sous le vinyle de la jupe. La vue du cul de M toujours offert appelait à nouveau des mains secourables pour le caresser ou le fesser. C’était évidemment le rôle attribué à Tiffany qui alternait frôlements et coups sur ce superbe fessier. Le collant fut déchiré quasi intégralement par les mains de ma compagne pendant que C commençait à gémir bruyamment sous les caresses de M. C avait d’ailleurs pris une position assez acrobatique en levant très haut sa jambe gauche qu’elle soutenait de main offrant ainsi aux regards et à M son sexe béant. Sa pose était celle d’une exhibitionniste pratiquante ou d’une actrice porno en manque de caméra ou d’appareils photo. Pendant que C grimpait vers un orgasme bruyant, Tiffany avait débarrassé M de son string et avait glissé ses doigts dans le sexe épilé qu’elle avait dévoilé.

 

C jouit vite et très fort sous les caresses de M. Une jouissance un peu théâtrale mais apparemment réelle. Elle se redressa juste après son orgasme et embrassa M pour la remercier. M se tourna alors vers Tiffany en lui disant qu’elle allait maintenant s’occuper d’elle. Tiffany pris la place de C et je pense, connaissant les goûts de ma femme, que M la trouva déjà bien trempée à la suite du spectacle auquel elle venait d’assister. Je ne me trompais pas et M le fit remarquer à haute voix ce qui incita C à la rejoindre pour des caresses à quatre mains. Je m’approchais à mon tour du trio et m’agenouillais pour glisser un doigt entre les fesses de Tiffany. Elle était maintenant en équilibre sur les bras et les pieds comme pour former ce qu’en gym on appelle un pont. Tiffany était en effet ruisselante, complètement trempée sous l’effet de l’excitation. Les quelques coupes de champagne n’étaient peut être pas étrangères à cet état mais les doigts de M qui pénétraient dans le sexe béant de ma femme étaient indéniablement la cause principale de son humidité. Je glissais quelques mots à l’oreille de M pour la prévenir du caractère autant humide des jouissances de Tiffany puis revins me placer en spectateur jugeant que ces dames n’avaient plus besoin de moi. De mon poste d’observation je vis rapidement quelques jets venir s’écraser sur le vinyle et Tiffany jouir très vite sous l’effet de caresses de M. Lorsqu’elle sortit ses doigts du sexe de Tiffany toute sa main et son avant bras brillaient du plaisir liquide de ma femme et, même si je l’avais prévenue, elle fut néanmoins surprise par la quantité de liquide qui accompagne l’orgasme de Tiffany. Elle reçut le même baiser de la part de Tiffany que celui donné par C et toutes deux rejoignirent le reste de l’assemblée, C quant à elle se prosternant aux pieds d’O qui cinglait ses fesses de petits coups de cravaches.

 

Je fis remarquer à Tiffany que dans son plaisir elle avait déplacé une partie du drap en vinyle destiné autant à satisfaire les fétichistes de cette matière qu’à protéger le canapé et qu’elle avait inondé une partie du futon. Je lui demandais d’aller s’excuser auprès d’A pour cette bêtise. Bien évidemment notre hôtesse ne lui en tint pas rigueur mais voulu vérifier elle même l’étendue de l’humidité de mon épouse. Elle glissa une main sous la jupe de Tiffany et écarquilla les yeux de surprise. Pourtant elle avait eu l’occasion de faire jouir Tiffany aussi intensément mais peut être l’avait elle oubliée.

 

Nous reprîmes notre conversation dans le salon sans M mais avec Francis arrivé entre temps qui nous expliqua avoir fait tourner C le week-end précédent dans un film X dans lequel elle était livrée à cinq hommes. Sa faculté à jouir de façon quasi ininterrompue avait d’ailleurs fait merveille. Cette capacité de certaines femmes à avoir des orgasmes multiples fut notre sujet de conversation pendant quelques minutes jusqu’à ce que certains bruits nous attirent à nouveau dans le bureau d’A.

 

C à genoux et débarrassée de sa jupe y subissait une flagellation en règle de la part d’O. Les coups avaient l’air de ranimer son plaisir. Nous voyant arriver O nous demanda si Tiffany souhaitait utiliser la cravache. Tiffany refusa d’un mouvement de tête et se plaça derrière C pour lui administrer une fessée. Elle avait cependant perdu l’habitude et ses coups étaient un peu désordonnés et sa main pas assez souple. Mais elle retrouva vite le rythme et les fesses de C prirent rapidement une couleur incarnat. Mais apparemment cela ne suffisait pas à C qui en demandait d’avantage. Voyant cela, Ray qui s’était approché de la scène tendit à Tiffany un martinet garni de nombreuses et fines lanières. L’essai ne fut cependant pas concluant, Tiffany marquant d’expérience dans le maniement de cet objet. Elle laissa donc la place au propriétaire du martinet qui nous fit une démonstration de ses talents. Il commença doucement par quelques coups sur les fesses comme pour chauffer le corps de C puis, un second martinet dans sa main gauche, il alternait les coups, croisant de temps en temps les lanières sur les fesses. Il appuya bien vite ses coups de plus en plus et de blanc marbrées de rouge léger les fesses devirent d’un rouge uniforme et soutenu.

 

J’ai abandonné quelques instant le spectacle pour aller me restaurer et lors de mon retour le duo C / Ray s’était transformé en trio par l’adjonction de la compagne de Ray. Cette dernière était debout devant C maintenant complètement nue à l’exception de ses bottes, lui servant de soutien et de croix de Saint Andrée vivante. Les lanières des martinets parcouraient maintenant la peau de C des cuisses jusqu’aux épaules et les gémissements de la belle avaient repris aussi sonores que lors de l’intervention de M. Les lanières flagellaient en rythme la peau bronzée qui prenait une teinte de plus en plus sombre. Ray se servait de ses instruments comme de deux nunchakus et le résultat en plus d’être efficace était très esthétique. Trop peut être au goût de certains mais qu’importe le résultat était là. L’amie de Ray s’était baissée et une de ses mains s’était emparée du sexe de C que Ray épargnait avec art. Les gémissements gagnèrent en intensité. Quand caresses et coups se synchronisèrent enfin C jouit une seconde fois, plus violemment cette fois mais tout aussi bruyamment.

 

Tiffany n’avait pas quitté la scène des yeux une seule seconde et pour une fois je la sentais prête à échanger son rôle de sage dominatrice pour celui de la flagellée alors que la plupart du temps elle a un rejet instinctif des fouets, cravaches et autres paddles. Ses yeux brillaient et quand je lui posais la question pour savoir si elle aurait aimé essayer sa réponse fut sans ambiguïté :

 

-         Pas maintenant, mais un jour peut être

 

Avec Ray et A nous avons un peu discuté de nos goûts respectifs et ayant repéré une fine baguette de bois recourbée en forme de crosse j’indiquais à mes interlocuteurs que j’aimais beaucoup les marques que laissait les tiges de bois ou d’osier même si elles marquaient d’avantage que les lanières. A, qui avait profité de la conversation pour défaire en partie la fermeture éclair de son pantalon en vinyle exhibait maintenant assez largement ses fesses toujours aussi superbes et son sexe lisse car, bien sur, elle était nue sous son pantalon. Profitant de lui demandais de me montrer ses piercings génitaux, ne les ayant vu qu’en photo, ce qu’elle fit de fort bonne grâce. Elle m’expliqua qu’elle allait tenter de faire remplacer les anneaux par des barres de façon à former comme une grille interdisant l’entrée de son sexe ne laissant libre que la porte étroite de ses fesses, entrée qu’elle avait, prétendait-elle, toujours préférée.

 

Tiffany vint me chercher sur ces entre faits car il était déjà relativement tard et nous devions rentrer relever la baby sitter.

 

Nous avons rapidement pris congé de tout le monde, j’ai aidé Tiffany à ôter son corset et sa jupe et lui ai repassé sa robe chinoise mais en gardant son string dans ma poche.

 

Une fois dans la voiture et le périphérique atteint, je lui ai demandé de trousser sa robe le plus haut possible sans la faire exploser et j’ai terminé le voyage du retour la main droite enfouie dans son sexe ruisselant. Une fois arrivés chez nous et notre jeune voisine partie, la bouche de Tiffany m’a libéré de toute mon excitation me permettant ainsi de la rejoindre dans le plaisir.

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 14:04

Après les fiançailles il y a le mariage

Après le mariage il y a les anniversaires de mariage....

Logique me direz vous.

Voici comment nous avons fêté cela......

T & P

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 14:02
Nous fêtions ce soir là notre anniversaire de mariage. C’était la première fois que nous sortions en cet honneur alors que nous étions mariés depuis trois ans. Pour cela nous avions évoqué l’idée d’aller au restaurant mais sans fixer exactement le programme de la soirée. De plus comme Tiffany s’était chargée de l’organisation de notre dernière sortie gastronomique, tous les détails de l’organisation m’incombaient cette fois ci. J’avais hésité longuement entre un restaurant italien haut de gamme et un restaurant gastronomique dans un hôtel du seizième arrondissement parisien pour finalement retenir cette dernière solution. Je pensais, à juste raison, que nous pourrions y tenir une conversation plus tranquille et le menu me paraissait plus léger et original. J’avais donc réservé une semaine avant la date prévue pour être sur d’avoir une table.
 
J’avais également décidé d’offrir à Tiffany un joli porte-jarretelles noir à pois blancs de la marque Lise Charmel que j’avais acheté quelques jours plus tôt. Le paquet cadeau l’attendait sur le lit, posé sur son oreiller pour qu’elle le trouve dès son arrivée. Il était accompagné d’une carte poste achetée au Musée de l’Erotisme représentant le dessin d’une femme aux seins reliés par une chaîne munie de pinces. Au dos ces quelques mots :
 
« Accompagné d’une jolie paire de bas et de chaussures ce sera parfait. Bon anniversaire ».
 
Je voulais qu’elle ne porte comme lingerie que ce porte-jarretelles et des bas, sachant que si l’idée de sortie nue sous une jupe la tente beaucoup sur le plan intellectuel, Tiffany a toujours beaucoup de mal à passer à l’acte. Autant je la sentais tentée quand nous en discutions, autant chaque fois que je lui demandais elle redevenait soudain très pudique et timide. Sûrement un reste de son éducation bourgeoise agissant comme une barrière face au risque que quelqu’un la devine quasi nue. J’avais dans l’idée de lui faire porter une jupe et un chemisier assez fin. La jupe me permettant de la caresser durant les trajets, le chemisier laissant deviner sa poitrine libre et l’excitation de ses tétons. Cependant au moment de partir Tiffany manifesta l’envie de remettre une robe en lin rose et gris qu’elle n’avait plus remis depuis le mariage civil et qui lui allait fort bien. Elle choisit une paire de bas couleur chair et des chaussures à talon beige clair pour harmoniser les couleurs. La particularité de cette robe est qu’elle est boutonnée dans le dos sur toute sa longueur. Cela modifiait pas mal mes plans mais étant donné l’ouverture possible dans le dos cela me laissait tout même quelques perspectives. Pour ma part un sobre costume gris, une chemise bleue nuit à poignets mousquetaires et une cravate sombre constituaient ma tenue.
 
Avant de partir, et après avoir confié Inès à sa baby-sitter habituelle, je glissais mon appareil photo numérique dans le sac de Tiffany. Nous avons ensuite pris un taxi direction le seizième arrondissement. Tiffany ne savait toujours pas où nous allions et j’avais presque réussi à lui faire croire que notre anniversaire de mariage se déroulerait dans un club échangiste ce qui ne lui plaisait que très modérément. Je la sentis se détendre quand le taxi nous déposa devant l’hôtel Sofitel Baltimore de l’avenue Kléber.
 
En sortant de la voiture elle me glissa
-         J’avais pensé que peut-être tu réserverais une chambre d’hôtel
Elle pensait sans aucun doute à la façon dont je lui ai avais souhaité son anniversaire quelques mois à peine après notre rencontre en réservant une chambre dans un hôtel assez spécial proche de la place Clichy. À l’époque j’avais organisé un pique nique coquin dans la chambre ainsi que la première d’une longue série de séances photos dans laquelle Tiffany tenait la vedette. La présence de l’appareil dans son sac rendait cette idée parfaitement plausible. Je souris à ce souvenir et lui répondis que non cette fois ci je l’amenais au restaurant.
 
Nous pénétrâmes dans le restaurant du Baltimore dont seules quelques tables étaient occupées. Le maître d’hôtel nous plaça quasiment au centre de la salle et après nous avoir demandés si nous étions allergiques à quelque chose nous souhaita un bon appétit et nous laissa aux bons soins du sommelier et d’un chef de rang.
 
En apéritif nous eûmes droit à une flûte de champagne Deutz millésimé de très bonne facture et le repas fut à l’avenant. Voici le menu et les différents vins qui nous furent servis durant la soirée.
 
LE FOIE GRAS DE CANARD
En ballottine, marmelade de figues au gingembre, fine croustille
Accompagné d’un étonnant vin de la région du Cap en Afrique du Sud à la manière d’un Porto
LA SARDINE
Farcie puis frite en feuille croustillante, sauce aigre-douce
Accompagnée d’un Sauvignon d’ Afrique du Sud
LE ROUGET
Rôti entier sur un lit de sel au romarin, crémeux de courgette au curry
Servi avec un blanc de la région de Sartène
LA VOLAILLE
Le suprême cuisiné en fricassée au vin jaune, champignons du moment aux herbes
Accompagnée d’un Bordeaux rouge
L'ABRICOT
Confit dans un jus de noyau, meringue juste raidie, glace à la coriandre
 
Café et Mignardises
 
Inutile de vous dire que nous avons mangé avec délectation ce qui fut présenté. Un vrai délice. Pas de grosses portions mais des plats raffinés et un mélange de saveurs étonnant.
Nous avons parlé de choses et d’autres et en particulier de nos rencontres passées et futures, de cette dernière soirée à dominante SM dans laquelle j’avais été beaucoup spectateur et Tiffany pas mal actrice. Bref, une soirée très agréable en amoureux. Le repas se déroula sans anicroche. Tiffany demanda à la jolie serveuse qui s’occupait de nous de lui indiquer les toilettes. Comme soit disant le chemin était semé d’embûches, Tiffany se fit accompagner, et elle traversa la salle dûment accompagnée, quasi nue sous sa robe légère suivie du regard par la plupart des clients. Des hommes quasi exclusivement.
 
Lorsqu’elle revint, elle m’avoua qu’elle n’avait qu’une peur depuis le début de la soirée : qu’un bouton de sa robe craque et qu’elle se retrouve fesses nues aux yeux de tous ! Il faut dire que la robe est particulièrement ajustée et que Tiffany a souvent la tentation de marcher à grandes enjambées rendant ainsi risquées pas mal de déplacements. En cas de problème elle avait prévu une culotte qu’elle avait placée dans son sac. Je lui fis tout de même remarquer que dans ce cas il aurait fallu qu’elle prenne son sac avec elle pour aller aux toilettes au lieu de le laisser aux pieds de sa chaise. De plus pourquoi ne pas avoir pris un imperméable plutôt que la courte veste en cuir. Le risque me semblait dès lors parfaitement assumé.
 
Le seul incident notable eut lieu au café. La serveuse était en train de verser son thé à Tiffany quand d’un mouvement un peu brutal elle envoya valser la tasse de café qui m’était destinée. J’échappais par miracle au café et devant le désastre le maître d’hôtel décida de nous changer de table. La demoiselle était très confuse et nous l’avons un peu taquinée. Notre nouvel emplacement nous offrait une vision différente de la salle et des serveurs qui s’occupaient des tables encore occupées. Je remarquais en particulier que la jolie serveuse arborait un petit tatouage discret à la cheville gauche. Placé comme je l’étais, je n’arrivais pourtant pas à en deviner le motif. Je signalais le tatouage à Tiffany qui après avoir sans succès essayé de distinguer me dit :
 
-         J’ai l’impression de la troubler quand je lui parle
-         J’ai remarqué, répondis-je
 
Et en effet la serveuse semblait un peu perturbée chaque fois que Tiffany lui adressait la parole. Peut être s’agissait-il là d’un effet de notre imagination stimulée par le bon vin et le champagne mais le sentiment que Tiffany pouvait troubler cette demoiselle allumaient nos deux regards.
 
Nous avons quitté le restaurant vers vingt trois heures et nous avons décidé de marcher un peu en direction du Trocadero pour y chercher un taxi. Nous n’étions pas complètement arrivés sur la place quand une voiture se présenta. Lorsque nous fûmes à l’intérieur je murmurai à l’oreille de Tiffany « Défait deux boutons de ta robe ».
Elle me sourit et en se tortillant parvint à défaire les deux boutons situés juste sous ses fesses. Malheureusement et malgré nos tentatives communes je ne parvins pas à la caresser durant le trajet. Je suis pourtant persuadé que Tiffany aurait adoré mais l’étroitesse de la robe ne le permettait pas. Nous avons cependant traversé la moitié de Paris, elle le robe largement ouverte sur ses fesses et moi ma main malaxant ses deux globes de chair.
 
Arrivés devant chez nous et alors que je payais le taxi je sentis que Tiffany était en train de reboutonner sa robe. Je la poussais dehors sans lui laisser le temps de fermer complètement les boutons et plaçais ma main sur ses fesses pour la guider jusqu’à chez nous. Un autre taxi étant en train de déposer des gens juste devant l’immeuble voisin du notre, notre chauffeur avait du nous laisser un peu plus haut dans la rue juste devant le théâtre. Il y avait encore pas mal de monde sur le trottoir malgré l’heure tardive et Tiffany pressa le pas bien que nous soyons sur le trottoir d’en face. Sans doute la peur d’être découverte les fesses à demi nues. Nous avons cependant atteint notre immeuble sans déclencher d’émeute. Une fois la porte d’entrée poussée j’ai demandé à Tiffany l’appareil photo qu’elle avait gardé dans son sac toute la soirée et, après avoir défait quelques boutons supplémentaires de sa robe je pris quelques photos de ses fesses dans le sas de l’immeuble. Nous franchîmes la seconde porte pour nous retrouver au pied de l’escalier.
-         Enlève ta veste, demandais-je à Tiffany
 
Elle s’exécuta. Et j’ajoutais quelques clichés à ma collection. Vu l’heure tardive et le peu de risque de croiser quiconque dans l’escalier je lui fis enlever complètement sa robe malgré sa réticence. Je la dirigeais à mi-voix, lui demandant de monter, descendre, de se pencher sur la balustrade etc. La séance dura une bonne dizaine de minutes et une vingtaine de photos vinrent s’ajouter aux précédentes. Inutile de dire combien ce petit jeu nous avait excités.
 
Quand nous avons finalement regagné l’appartement nous avons presque chassé la baby-sitter pour prendre la direction de notre chambre! Comme vous vous en doutez, les fesses de Tiffany furent au centre de nos jeux. Nous nous sommes endormis fort tard et il est fort probable que nous fêterons dorénavant chaque année notre anniversaire de mariage.
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Mardi 19 septembre 2 19 /09 /Sep 14:29

Nos fiançailles n’ont pas donné lieu à de grandes réjouissances familiales. Pas de grand-mère émue aux larmes, gardons cela pour le mariage, pas de tonton Bernard pour raconter des histoires salaces qui font rougir les vieilles dames de l’assemblée.

Nos fiançailles n’ont pas été non plus l’occasion de présenter les deux familles. Pour cela comme pour le reste nous attendrons la cérémonie officielle.
Non, nos fiançailles ont été l’occasion d’aller dîner dans un restaurant normalement au-dessus de nos moyens et de nous offrir mutuellement des beaux cadeaux. C’était là la seule chose traditionnelle de cette cérémonie qui n’a, aux vues des évènements de fiançailles que le nom. En matière de cadeaux il n’y avait pas de surprise : Tiffany allait enfin pouvoir passer à son doigt la bague qu’elle avait fait faire par un joaillier, quant à moi il était dit que je recevrai un splendide chronographe ancien que je cherchais depuis fort longtemps.
 
Pour ajouter une saveur particulière à l’évènement, la date que nous avions choisie coïncidait au jour anniversaire de notre rencontre. Pouvions nous faire plus romantique ? Difficile n’est ce pas !
 
Il était convenu que je m’occuperai du choix du restaurant.
 
Je voulais surtout quelque chose d’intime et d’original. Tiffany ayant mis comme condition que ce fut un restaurant de cuisine française.
 
Le choix s’est très rapidement porté sur un vénérable restaurant établi depuis plusieurs siècles en face de la conciergerie, à une encablure de Notre Dame, et réputé pour la discrétion de son personnel et l’histoire amoureuse des ses petits salons privés. Les gourmets et les coquins auront sans doute reconnu le lieu. Il se dit même que Colette y écrivit une nouvelle intitulée « La Chatte » et que des messieurs fortunés du temps jadis y amenaient leurs conquêtes pour les lutiner. Ils pouvaient ainsi échapper aux foudres matrimoniales car, selon la légende, l’adultère ne pouvait être constaté dans un lieu public. Et les petits salons clos du restaurant malgré leur caractère intime étaient considérés comme des lieux publics…
 
Je réservais donc un petit salon pour deux sans dévoiler à Tiffany le nom du restaurant.
 
**
*
 
Le samedi soir venu, je choisis la tenue de Tiffany : une jupe sexy sage qu’elle venait de s’acheter, des bas couleur fumée. Pour la lingerie j’avais acheté dans l’après midi un ravissant petit string bleu nuit auquel j’ajoutai un serre-taille de satin noir l’emprisonnant jusque sous les seins mais les laissant libres d’accès. Un pull au décolleté assez profond vint se superposer au serre-taille. Pour les chaussures, nous avions choisi ensemble une paire à talons bobine et à lanières qu’elle porte plutôt en été. Pour les bijoux, une paire de perles baroques en guise de boucles d’oreilles, un jonc en argent autour du coup et une aigue-marine montée sur or blanc comme seule bague.
 
Pour ma part un classique costume gris anthracite, une chemise à petits carreaux et une cravate bleue formaient ma tenue.
 
Nous avions réservé pour vingt heures trente et nous nous y sommes rendus en taxi. Quel plaisir de caresser les genoux de ma belle pendant que nous attendions dans les embouteillages ! Tiffany était tout excitée car elle venait d’entendre le nom du restaurant que j’avais donné au chauffeur et ce nom évoquait pour elle voyage, terres lointaines et aventure.
 
A l’entrée du restaurant une ravissante demoiselle au décolleté généreux pris nos manteaux et nous la suivîmes dans l’escalier pour monter à l’étage où notre salon était réservé.
 
Elle nous ouvrit la porte et nous découvrîmes l’endroit où nous allions dîner. Une petite pièce contenant une table ovale assez vaste pour y placer six convives.
 
Tiffany semblait enchantée par le décor rococo de la pièce aux murs recouverts de toiles peintes, aux boiseries recouvertes de dorure. L’élément le plus amusant du décor était cependant un miroir dont la glace portait d’innombrables traces de rayures. Tiffany me demanda pourquoi ce miroir était si abîmé. Je lui contais donc ce que je savais du restaurant, c’est à dire l’histoire des cocottes et des messieurs fortunés fuyant les constats d’adultères. Je lui contais surtout la pratique de ces dames qui, lorsqu’elles recevaient une bague de leur galant, testaient l’authenticité du diamant en rayant la glace du miroir.
 
Tiffany aurait pu être tenté par la même chose mais le serti clos du diamant de sa bague le lui interdisait.
 
Nous nous sommes installés, Tiffany sous le miroir et moi face à elle. Sur la table les couverts étaient disposés et les assiettes reposaient dans de vastes assiettes d’argent. Et le ballet commença, d’abord le pain déposé sur de petites assiettes, puis l’apéritif, une coupe de champagne pour chacun accompagnée par des petits gâteaux croustillants. Le menu carte n’offrait pas le choix immense mais suspect de certains restaurants chinois. Il proposait en revanche une palette assez complète de ce que la cuisine française traditionnelle offre de meilleur : du foie gras, du poisson et beaucoup de gibier.
 
Le choix fut, vous l’imaginez, difficile et nous avons du faire appel au maître d’hôtel pour nous conseiller. Et quel le maître d’hôtel ! Rond de corps mais aussi par fonction, onctueux sans être cauteleux, il s’amusait visiblement beaucoup de nos hésitations et des questions faussement naïves de ma compagne. Au final, Tiffany opta pour une papillote de foie gras suivi de ravioles de homards, quant à moi j’avais choisi un menu de poissons avec du thon aux épices en entrée et de la raie au beurre de salicornes comme plat.
 
Le choix du vin fut complexe pour s’arrêter finalement sur un Puligny-Montrachet après avoir hésité sur un Pacherenc du Vic-Bilh sec que le sommelier s’engagea à nous faire goûter malgré tout.
 
Nous avons commencé à dîner très sagement, peut être un peu impressionnés par le lieu et l’enjeu. On ne se fiance tout de même pas tous les jours ! La conversation fut fort sage voire même sérieuse pendant les « amuses bouches » et l’entrée.
 
Tout ce que nous mangions était fort bon et le Puligny-Montrachet à la hauteur de sa réputation. Il commençait d’ailleurs à faire son effet, Tiffany devenait plus loquace et parfois les mots, les siens comme les miens, se bousculaient pour sortir de nos bouches !
 
Lorsque les serveurs nous rendaient visite, ils nous trouvaient de plus en plus souvent en train de pouffer comme deux collégiens. Fort heureusement, ces garçons étaient bien élevés et ils frappaient toujours avant d’entrer. Cela me permettait de reprendre l’air sérieux de celui qui contrôle la situation alors qu’en réalité il n’attend que le départ de l’importun pour dire et faire des bêtises.
 
Tiffany terminait ses ravioles de homard et moi ma raie au beurre de salicornes lorsque je décidais de précipiter les choses. Comme je connaissais la tenue de Tiffany pour l’avoir choisie, je savais qu’elle pourrait accéder à ma demande sans trop d’efforts.
 
Elle venait de poser ses couverts et s’apprêtait à couper un morceau de pain pour terminer sa sauce quand je lui demandais d’ôter sa culotte et de me la donner. Elle me regarda en rougissant comme elle sait si bien le faire mais n’hésita pas longtemps avant de s’exécuter. Il semblait bien que le vin et l’ambiance l’excitaient autant que moi.
 
Elle se trémoussa un peu. Charmant spectacle car la jupe était vraiment très étroite. Elle parvint néanmoins à l’enlever et me la tendit par-dessus la table. Elle était légèrement humide mais sans plus. Connaissant les capacités de ma compagne j’étais un déçu. Je mis la culotte dans ma poche puis lui demandais de se lever et de s’approcher de moi. Je glissais la main sous la jupe et caressais le sexe de Tiffany. Elle était plus mouillée que sa culotte ne pouvait le laisser supposer et sous mes caresses elle ferma les yeux et se laissa aller d’avantage. Mes doigts étaient complètement trempés quand je les retirai.
 
Je renvoyais Tiffany à sa place car j’entendais du bruit dans le couloir : les serveurs n’allaient pas tarder à revenir pour desservir. En effet, après deux coups brefs la porte s’ouvrit et le maître d’hôtel vint nous retirer nos assiettes. Le fromage n’allait pas tarder.
 
Le plateau était alléchant et comme toujours Tiffany ne prit aucun risque alors que je décidais de goûter quelques fromages plus forts en goût. Tout cela serait atténué par le vin et les soufflés au chocolat que nous avions commandés pour le dessert. Il me restait un peu du Pacherenc du Vic-Bilh que le sommelier nous avait apporté pour nous le faire goûter. Sympathique attention qui me permettait de déguster mon fromage en l’accompagnant de ce vin certes très sec mais se mariait finalement assez bien avec ce que je mangeais.
 
Lorsque le serveur revint pour nous débarrasser, Tiffany lui réclama un peu de répit avant d’attaquer le dessert. C’était une excellente idée car je commençais à me sentir rassasié. Et puis je pensais bien mettre à profit ces quelques minutes supplémentaires pour demander à Tiffany de terminer ce qu’elle avait si bien commencée.
 
Je lui demandais de s’avancer sur sa chaise jusqu’à ce qu’elle me touche en tendant la jambe. Je m’approchais à mon tour et saisi sa jambe droite que je posais sur mon genoux. Tout en caressant sa cheville gainée de nylon je lui soufflais :
 
-         Caresses toi.
 
Si j’en juge par la promptitude avec laquelle elle m’obéit elle devait en mourir d’envie. Si j’en doutais encore, ses soupirs me rassurèrent très vite sur son état réel. Je ne voyais rien, je ne pouvais qu’imaginer ce qui se passait sous la table. Les doigts jouant sur le clitoris, s’enfonçant parfois dans un sexe ruisselant pour y chercher l’humidité nécessaire au bon déroulement de son activité illicite. Je l’avais vu quelques fois à l’œuvre mais il est vrai que j’aurais bien aimé la contempler se caresser dans un restaurant. Ce serait peut être pour une autre fois. Elle jouit avec une rapidité et une retenue dont elle est peu coutumière. Sans doute en raison de la présence proche des serveurs dont on ne savait quand ils allaient revenir pour nous amener le dessert.
 
Elle s’affala pantelante sur la chaise et reprit lentement sa respiration.
 
Elle était encore un peu rose de son plaisir quand le serveur apporta deux énormes soufflés au chocolat, spécialité de la maison. Je vint à bout du mien mais Tiffany cala et me demanda de terminer le sien. Ils étaient extraordinaires mais vraiment gargantuesques.
 
Nous nous offrîmes nos cadeaux après les soufflés. Je pus enfin mettre la montre que j’avais eu tant de mal à trouver et Tiffany put passer à son doigt le diamant de sa grand-mère qu’un joaillier avait entouré de deux saphirs et monté sur or blanc.
 
Un café, l’addition et une brève visite du restaurant en compagnie du maître d’hôtel conclurent notre dîner au restaurant. La demoiselle du vestiaire nous apporta nos manteaux et appela un taxi que nous attendîmes au bar quasiment déserté en cette heure tardive.
 
Durant le trajet qui nous fit traverser la moitié de Paris, la main glissée sous la jupe de Tiffany je caressais son sexe encore trempé.
 
A notre arrivée chez nous je la pris sur le canapé sans lui laisser le temps de souffler. J’étais beaucoup trop impatient pour m’embarrasser de préliminaires et je crois que l’état dans lequel se trouvait ma compagne s’accommoda fort bien de la fougue de mon assaut.
 
Nous constatâmes les dégâts ensuite. Peu de choses à dire vrai : le tissu qui recouvre le canapé avait une fois de plus été inondé et la jupe de Tiffany nécessitait un nettoyage au pressing.
 
Tiffany m’a avoué par la suite que la demoiselle de la teinturerie lui avait demandée de quelle nature était la tâche que portait sa jupe et qu’elle n’avait pas osé, vous l’imaginez, lui dire la vérité.
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux à deux
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 14:21
Rencontrés sur un site bien connu des libertins ce charmant couple était venu dîner un soir chez nous sans que nous ayions pu jouer ensemble.

La première soirée en leur compagnie eut donc lieu quelques semaines plus tard.
Tiffany était impatiente et j'avais rédigé un petit scenario à l'intention de S avec la complicité de son compagnon.

La soirée a tenu ses promesses et S nous a fait cadeau du récit de SA soirée.

Merci à elle de s'être prêtée au jeu...

Espérons que nous aurons le plaisir de les revoir bientôt

Philippe
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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