Jeux de société

Mercredi 25 octobre 3 25 /10 /Oct 16:16

Nous connaissons A depuis maintenant plus de cinq ans mais nos dernières soirées coquines passées en commun sont maintenant très anciennes et même si nous sommes en contact régulier par mail et par téléphone nous ne nous étions pas vu depuis près d’un an et demi.

 

Ainsi quand A nous a invité à une soirée dans son appartement que nous ne connaissions pas nous avons sauté sur l’occasion et convoqué la baby-sitter habituelle de notre fille. Nous sommes parti de chez nous vers 20 h 45 vêtus assez normalement pour ne pas effrayer notre jeune pensionnaire.

 

Tiffany portait néanmoins une robe chinoise assez courte pour laisser voir la dentelle de ses bas et juste un petit string noir. Comme la soirée était assez fraîche en ce début juillet elle avait passé par dessus un blouson en cuir noir assez ajusté. Je portais mes bottes militaires, un jean et un tee-shirt noir. Dans un sac j'avais placé mon pantalon en cuir, deux corsets et divers accessoires.

 

La trajet en voiture n’était pas très long bien. Heureusement car le périphérique était particulièrement chargé et que nous souhaitions arriver tôt pour pouvoir discuter un peu avec elle avant qu’elle ne soit happée par le tourbillon de la soirée.

En plus coup de chance nous avons trouvé une place juste devant chez notre hôtesse car avec ses talons et sa robe ultra courte elle aurait fatalement fait sensation...

 

Nous avons donc découvert l'appartement d'A dans lequel nous allions pour la première fois.

Assez vaste et peu meublé genre camping de luxe avec une quantité incroyable de bouquins, surtout des mangas, dans les bibliothèques accessibles, certaines étant pudiquement voilées de noir. Que cachent ses bibliothèques ? Mystère.

Seuls J et M que nous connaissions déjà étaient déjà sur place, installés dans ce qui à l’origine devait être un grand salon salle à manger et dont A avait reconverti une partie en bureau. Les doubles portes séparant les deux pièces ayant été enlevées elle avait ainsi créé une sorte d’alcôve dans chaque pièce. Nous étions installé dans la première sur des fauteuils grand siècle recouverts de velours rouge sombre. Dans le bureau d’A un canapé futon devait servir à faire dormir d’éventuels invités. Mais revenons aux personnes présentes.

 

M est une version déjantée de Louise Brooks dont elle a la coupe de cheveux et le style.

Elle était à peine vêtue d'une combinaison en résille, d'un string et de quelques fanfreluches noires.

A portait un pantalon et un haut en vinyle hyper moulant. Le haut étant ouvert sur un balconnet noir et rose ayant bien de la peine à contenir sa somptueuse poitrine.

 

Nous avons papoté un peu de choses et d'autres au rythme des arrivées.

Le problème qui est apparu assez vite c'est que des invités avaient eux même invité des personnes peu connaisseuses du milieu SM et plutôt intéressés par l’échangisme. Certes les demoiselles étaient jeunes et jolies mais le "dress-code" fixé par A c’est à dire cuir, vinyle, corsets et autres tenues fétichistes était sérieusement écorné. Malgré cela deux couples sortaient du lot, à part nous bien sur! Finalement, le champagne qui coulait à flot aidant, la soirée ne s'annonçait pas si mal. Le premier couple, C et O, respectait le "dress-code" à la lettre. Elle petite, fine, les cheveux sagement attachés en chignon, portant une jupe en cuir noir et un corset de la même couleur. O grand et tout de noir vêtu portait également un pantalon de cuir. En effet j'avais été troqué, dès notre arrivée, mon jean contre mon pantalon en cuir mais Tiffany avait conservé sa robe chinoise me laissant le soin de la rhabiller en cours de soirée. L’autre couple le plus remarquable était composé d’un grand asiatique lui aussi vêtu de cuir nommé Ray et d’une grande jeune femme visiblement d’origine méditerranéenne et dont j’ai oublié le prénom. Elle dérogeait elle aussi à la règle vestimentaire mais son "cat-suit" et son string de résille blanc étaient quand même bien plaisant à l’œil.

 

A nous a glissé que C et O avaient participé le week-end précédent à un film tourné par Francis dans lequel C avait été livrée à cinq hommes sans être au préalable prévenue de ce qui allait lui arriver. Dans la conversation j’ai indiqué à A que j’avais apporté avec moi deux corsets, un pour Tiffany et un autre dont je pourrais habiller un des mannequins présents dans l’appartement. Comme A trouvait l’idée agréable je disparu quelques minutes dans sa chambre le temps de lacer le corset sur le mannequin que j’avais choisi. A mon retour A me demanda de placer le mannequin dans le salon pour que tout le monde puisse admirer le corset violet que j’avais choisi.

 

Je rejoignis Tiffany qui était en grande discussion avec M et C justement à propos de corsets. Je me mêlais quelques minutes à la conversation avant de faire remarquer à Tiffany que sa tenue pouvait facilement être mise en harmonie avec celle de C. Tiffany m’a suivi dans la chambre d’A pour y changer de tenue. La robe chinoise a vite rejoint le sac en toile contenant les accessoires et je l’ai aidée à passer le corset rouge que j’avais choisi. Je l’ai noué assez serré de façon à lui faire une taille très fine. Pour compléter sa tenue j’ai choisi une petite jupe en vinyle qu’elle n’avait jamais portée. Nous sommes revenus dans le salon et Tiffany a pu faire admirer son corset. La discussion s’était poursuivie entre M, O et C. Tiffany trouva une place sur un des fauteuils. Le dos maintenu bien droit par les baleines Tiffany avait du mal à atteindre les petites choses à grignoter qui encombraient la table. Elle demandait donc à M qui s’était assise à ses côtés de lui passer tel ou tel aliment. Et ce qui devait arriver arriva : Tiffany finit par renverser un bol de pistaches que tenait C. Devant le désastre je n’eus pas le temps de demander à Tiffany de ramasser que M s’était agenouillée et ramassais les pistaches en prenant les poses les plus à même de mettre son cul en valeur. O lui assena quelques très légers coups de cravaches et Tiffany tendit la main pour caresser les fesses qui se trémoussaient devant son nez. M, fidèle à son personnage, ronronnait en réclamant plus de claques sur les fesses. Pour inciter ma compagne à l’action elle déchira elle même en partie le collant protégeant son fessier dévoilant sa peau mate et permettant aux coups de marquer d’avantage.

 

Je ne sais pas par quel biais C est entrée dans le jeu mais quelques minutes après les premières claques sur les fesses de M, C et elle se retrouvèrent dans l’autre partie du salon dans laquelle A avait opportunément déployé le canapé qui était recouvert d’un drap de vinyle noir. Toujours est il que C s’était à demi assise, à demi étendue sur le futon, le dos contre le mur, avait troussée sa jupe en cuir sous laquelle elle était nue et M, à genoux entre ses cuisses lapait à petits coups de langue le sexe épilé et orné de deux anneaux qui lui était présenté.

 

Tiffany était debout à mes côtés pour profiter du spectacle. A ma demande elle retira son string pour que je la caresse un peu. J’empochais les quelques grammes de dentelle et glissais ma main sous le vinyle de la jupe. La vue du cul de M toujours offert appelait à nouveau des mains secourables pour le caresser ou le fesser. C’était évidemment le rôle attribué à Tiffany qui alternait frôlements et coups sur ce superbe fessier. Le collant fut déchiré quasi intégralement par les mains de ma compagne pendant que C commençait à gémir bruyamment sous les caresses de M. C avait d’ailleurs pris une position assez acrobatique en levant très haut sa jambe gauche qu’elle soutenait de main offrant ainsi aux regards et à M son sexe béant. Sa pose était celle d’une exhibitionniste pratiquante ou d’une actrice porno en manque de caméra ou d’appareils photo. Pendant que C grimpait vers un orgasme bruyant, Tiffany avait débarrassé M de son string et avait glissé ses doigts dans le sexe épilé qu’elle avait dévoilé.

 

C jouit vite et très fort sous les caresses de M. Une jouissance un peu théâtrale mais apparemment réelle. Elle se redressa juste après son orgasme et embrassa M pour la remercier. M se tourna alors vers Tiffany en lui disant qu’elle allait maintenant s’occuper d’elle. Tiffany pris la place de C et je pense, connaissant les goûts de ma femme, que M la trouva déjà bien trempée à la suite du spectacle auquel elle venait d’assister. Je ne me trompais pas et M le fit remarquer à haute voix ce qui incita C à la rejoindre pour des caresses à quatre mains. Je m’approchais à mon tour du trio et m’agenouillais pour glisser un doigt entre les fesses de Tiffany. Elle était maintenant en équilibre sur les bras et les pieds comme pour former ce qu’en gym on appelle un pont. Tiffany était en effet ruisselante, complètement trempée sous l’effet de l’excitation. Les quelques coupes de champagne n’étaient peut être pas étrangères à cet état mais les doigts de M qui pénétraient dans le sexe béant de ma femme étaient indéniablement la cause principale de son humidité. Je glissais quelques mots à l’oreille de M pour la prévenir du caractère autant humide des jouissances de Tiffany puis revins me placer en spectateur jugeant que ces dames n’avaient plus besoin de moi. De mon poste d’observation je vis rapidement quelques jets venir s’écraser sur le vinyle et Tiffany jouir très vite sous l’effet de caresses de M. Lorsqu’elle sortit ses doigts du sexe de Tiffany toute sa main et son avant bras brillaient du plaisir liquide de ma femme et, même si je l’avais prévenue, elle fut néanmoins surprise par la quantité de liquide qui accompagne l’orgasme de Tiffany. Elle reçut le même baiser de la part de Tiffany que celui donné par C et toutes deux rejoignirent le reste de l’assemblée, C quant à elle se prosternant aux pieds d’O qui cinglait ses fesses de petits coups de cravaches.

 

Je fis remarquer à Tiffany que dans son plaisir elle avait déplacé une partie du drap en vinyle destiné autant à satisfaire les fétichistes de cette matière qu’à protéger le canapé et qu’elle avait inondé une partie du futon. Je lui demandais d’aller s’excuser auprès d’A pour cette bêtise. Bien évidemment notre hôtesse ne lui en tint pas rigueur mais voulu vérifier elle même l’étendue de l’humidité de mon épouse. Elle glissa une main sous la jupe de Tiffany et écarquilla les yeux de surprise. Pourtant elle avait eu l’occasion de faire jouir Tiffany aussi intensément mais peut être l’avait elle oubliée.

 

Nous reprîmes notre conversation dans le salon sans M mais avec Francis arrivé entre temps qui nous expliqua avoir fait tourner C le week-end précédent dans un film X dans lequel elle était livrée à cinq hommes. Sa faculté à jouir de façon quasi ininterrompue avait d’ailleurs fait merveille. Cette capacité de certaines femmes à avoir des orgasmes multiples fut notre sujet de conversation pendant quelques minutes jusqu’à ce que certains bruits nous attirent à nouveau dans le bureau d’A.

 

C à genoux et débarrassée de sa jupe y subissait une flagellation en règle de la part d’O. Les coups avaient l’air de ranimer son plaisir. Nous voyant arriver O nous demanda si Tiffany souhaitait utiliser la cravache. Tiffany refusa d’un mouvement de tête et se plaça derrière C pour lui administrer une fessée. Elle avait cependant perdu l’habitude et ses coups étaient un peu désordonnés et sa main pas assez souple. Mais elle retrouva vite le rythme et les fesses de C prirent rapidement une couleur incarnat. Mais apparemment cela ne suffisait pas à C qui en demandait d’avantage. Voyant cela, Ray qui s’était approché de la scène tendit à Tiffany un martinet garni de nombreuses et fines lanières. L’essai ne fut cependant pas concluant, Tiffany marquant d’expérience dans le maniement de cet objet. Elle laissa donc la place au propriétaire du martinet qui nous fit une démonstration de ses talents. Il commença doucement par quelques coups sur les fesses comme pour chauffer le corps de C puis, un second martinet dans sa main gauche, il alternait les coups, croisant de temps en temps les lanières sur les fesses. Il appuya bien vite ses coups de plus en plus et de blanc marbrées de rouge léger les fesses devirent d’un rouge uniforme et soutenu.

 

J’ai abandonné quelques instant le spectacle pour aller me restaurer et lors de mon retour le duo C / Ray s’était transformé en trio par l’adjonction de la compagne de Ray. Cette dernière était debout devant C maintenant complètement nue à l’exception de ses bottes, lui servant de soutien et de croix de Saint Andrée vivante. Les lanières des martinets parcouraient maintenant la peau de C des cuisses jusqu’aux épaules et les gémissements de la belle avaient repris aussi sonores que lors de l’intervention de M. Les lanières flagellaient en rythme la peau bronzée qui prenait une teinte de plus en plus sombre. Ray se servait de ses instruments comme de deux nunchakus et le résultat en plus d’être efficace était très esthétique. Trop peut être au goût de certains mais qu’importe le résultat était là. L’amie de Ray s’était baissée et une de ses mains s’était emparée du sexe de C que Ray épargnait avec art. Les gémissements gagnèrent en intensité. Quand caresses et coups se synchronisèrent enfin C jouit une seconde fois, plus violemment cette fois mais tout aussi bruyamment.

 

Tiffany n’avait pas quitté la scène des yeux une seule seconde et pour une fois je la sentais prête à échanger son rôle de sage dominatrice pour celui de la flagellée alors que la plupart du temps elle a un rejet instinctif des fouets, cravaches et autres paddles. Ses yeux brillaient et quand je lui posais la question pour savoir si elle aurait aimé essayer sa réponse fut sans ambiguïté :

 

-         Pas maintenant, mais un jour peut être

 

Avec Ray et A nous avons un peu discuté de nos goûts respectifs et ayant repéré une fine baguette de bois recourbée en forme de crosse j’indiquais à mes interlocuteurs que j’aimais beaucoup les marques que laissait les tiges de bois ou d’osier même si elles marquaient d’avantage que les lanières. A, qui avait profité de la conversation pour défaire en partie la fermeture éclair de son pantalon en vinyle exhibait maintenant assez largement ses fesses toujours aussi superbes et son sexe lisse car, bien sur, elle était nue sous son pantalon. Profitant de lui demandais de me montrer ses piercings génitaux, ne les ayant vu qu’en photo, ce qu’elle fit de fort bonne grâce. Elle m’expliqua qu’elle allait tenter de faire remplacer les anneaux par des barres de façon à former comme une grille interdisant l’entrée de son sexe ne laissant libre que la porte étroite de ses fesses, entrée qu’elle avait, prétendait-elle, toujours préférée.

 

Tiffany vint me chercher sur ces entre faits car il était déjà relativement tard et nous devions rentrer relever la baby sitter.

 

Nous avons rapidement pris congé de tout le monde, j’ai aidé Tiffany à ôter son corset et sa jupe et lui ai repassé sa robe chinoise mais en gardant son string dans ma poche.

 

Une fois dans la voiture et le périphérique atteint, je lui ai demandé de trousser sa robe le plus haut possible sans la faire exploser et j’ai terminé le voyage du retour la main droite enfouie dans son sexe ruisselant. Une fois arrivés chez nous et notre jeune voisine partie, la bouche de Tiffany m’a libéré de toute mon excitation me permettant ainsi de la rejoindre dans le plaisir.

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 14:21
Rencontrés sur un site bien connu des libertins ce charmant couple était venu dîner un soir chez nous sans que nous ayions pu jouer ensemble.

La première soirée en leur compagnie eut donc lieu quelques semaines plus tard.
Tiffany était impatiente et j'avais rédigé un petit scenario à l'intention de S avec la complicité de son compagnon.

La soirée a tenu ses promesses et S nous a fait cadeau du récit de SA soirée.

Merci à elle de s'être prêtée au jeu...

Espérons que nous aurons le plaisir de les revoir bientôt

Philippe
Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 14:11

Mars 2006

Soirée Spéciale Tiffany & Philippe


L a prévu depuis quelques semaines, d’une soirée spéciale en brouillant les pistes, pour que je ne sache pas le lieu, les personnes que nous rencontrerons et le planning de la soirée. Je sais juste que nous avons rendez-vous vers 21h30 dans le nord de Paris.
Après ma douche, je me prépare en essayant de penser à autre chose. L s’amuse gentiment à me stresser en me rappelant que je ne sais rien de la soirée. L a plus que d’habitude encore porté une attention particulière à ma tenue, insistant sur le fait que je porte des bas coutures retenus par mon porte jarretelle en vinyle sous le serre taille haut laissant mes seins accessibles, ma mini jupe en cuir et mon blouson en vinyle. Il me place mon collier le plus contraignant, en acier épais, qu’il faut attacher ou défaire avec une pince. En jetant un œil dans le miroir, je trouve ma tenue sexy du fait que ma taille soit ainsi affinée. J’espère plaire là où je vais ainsi vêtue.

Sur le périphérique, bien que m’y attendant L me demande de mettre un bandeau en latex épais sur les yeux pour que je ne devine pas où nous nous rendons. Très vite les mouvements de la voiture me donnent mal au coeur. J’écoute le navigateur répété des droites répétées puis des gauches répétées. Après ce tour de quartier, L s’arrête, déverrouille les portes de la voiture. J’entends le déclic qui débloque ma ceinture de sécurité. L me précise que je dois me comporter et obéir comme s’il était présent. Cette petite phrase me fige et me terrorise au moment où ma porte s’ouvre. Je m’agrippe à mon sac, comme à une bouée, une main attrape mon autre main. Sa largeur et sa poigne me font penser à Alex mais la voix est différente et je ne reconnais pas ce timbre, ce qui augmente ma peur. J’ai l’impression d’être sur un parking, du fait du bruit d’autres voitures. Je trébuche sur une marche et sens des mains gantées féminines qui se saisissent de mes mains. La voix féminine me salue mais je ne la reconnais pas plus que la voix masculine. Plus aucun mot n’est prononcé par le couple. Mon cerveau s’emballe est-ce un couple SM à qui je suis confiée ou bien libertin ? Où me conduisent-ils ?

L va-t-il nous rejoindre? Je n’ai pas le temps d’y penser trop concentrer sur les mouvements à effectuer. Nous passons une porte, j’entends mes pas raisonnés dans une entrée que je suppose carrelée. La voix féminine me désigne le pied de l’escalier d’entrée et ses mains me guident pour monter. Au niveau du 2ème étage nous nous arrêtons et l’homme ouvre la porte d’entrée, la jeune femme me guide grâce à ses mains dans un appartement. Ils me font glisser dans une pièce, où se dégage une chaleur sur le côté gauche le crépitement qui émane de cet endroit me laisse déduire que nous sommes dans un salon avec une cheminée. Un encens ou une bougie dégage une odeur chaude qui emplie la pièce. L’homme prend mon sac et me débarrasse de mon manteau, ainsi que celui de sa compagne. J suis plus où moins figée comme une statue. L’homme lui demande de vérifier ce qui était convenu. La jeune femme s’exécute prestement, glisse sa main fraîche le long de mes cuisses qu’elle écarte un peu.
J’apprécie que ce soit elle qui se charge de cette tâche. Je suis étonnée et amusée que l’on souhaite vérifier si vite que j’obéisse à ces personnes qui sont pour l’heure mes maîtres, et que je sois convenable comme soumise sans sous-vêtement. J’ai en même temps très honte d’avoir glissé un mouchoir entre mes fesses de peur de soucis suite au lavement effectué avant de partir. Je le tend penaude m’excusant platement de donner une chose aussi sale à un Maître, m’attendant à une remontrance. Les doigts de la jeune femme effleurent et caressent légèrement mon sexe, que j’espère le plus doux possible pour lui plaire. Elle effleure le cordon des boules de geisha que L m’a ordonné de glisser dans mon vagin pour que les vibrations m’excitent. La jeune femme confirme que je suis conforme aux attentes.
L’homme, il me semble, lui demande de s’arrêter là. Elle me guide alors jusqu’à ce qu’elle me précise être un fauteuil, elle me fait pivoter et m’aide à m’asseoir. Je sens la douceur du cuir sous mes doigts. La jeune femme revient pour soulever ma jupe pour que, semble-t-il, je m’assois directement sur le cuir du fauteuil. J’espère ne pas tâcher de mes sucs. La douceur du cuir et sa douce chaleur sous mes fesses m’excitent.

Le stress monte, je me concentre à conserver mes jambes décroisées comme me l’a demandé L avant de descendre de la voiture ; je dois lui faire honneur. L’homme me demande si je vais être obéissante, je lui réponds positivement et respectueusement par « Oui Maître ». Je souhaite lui montrer autant de respect que je dois à L. Il me demande si je sais où je suis et qui ils sont, j’avoue respectueusement que « non Maître ». Je sens comme un sourire d’amusement et un certain plaisir dans une respiration de l’homme.
Il me semble que mes mains sont gelées et brûlantes à la fois. Je les pose bien à plat sur mes genoux, trouvant cette position jolie à voir. Je sens la présence de la jeune femme, l’homme s’est il me semble éclipser de la pièce, pourquoi, y a-t-il d’autres personnes, l’endroit me paraît être un appartement calme, mais qu’en est-il vraiment ?
Le silence règne, ce qui ne m’aide pas à trouver où je suis et qui est ce couple. Est-ce que je les connais vraiment, mais leur voix ne m’évoque rien. Ce calme extérieur fait contraste au bourrasque et mille questions qui se télescopent dans mon esprit en feu. Pour finalement avoir le calme aussi à l’intérieur, j’ai l’impression que mon cerveau se débranche faute de trouver de réponses. Je m’accroche à la confiance totalement aveugle que j’ai en L.
Je m’étonnes d’avoir été assise et m’attends à tout moment à ce qu’on me demande de m’agenouiller ou que l’on me jette sur le sol. Des plats sont posés sur la table dont le revêtement en verre résonne. J’essaye de contrôler ma respiration. Pour m’aider à mieux respirer, la jeune femme dézippe un peu mon blouson. Je la remercie et reconnais que le corset en dessous n’aide pas.
L’homme demande si je conviens à la jeune femme, qui répond par l’affirmative. Je me sens flatter de lui plaire et souhaite lui faire plaisir. La jeune femme me demande si j’aime les tomates, je lui dis que oui, elle me dit que c’est L qui n’aime pas. Je ne tilt même pas que donc nous nous connaissons. Elle prend alors une tomate cerise et me la pose sur les lèvres. Je suis tellement stressée que j’ai du mal à mâcher, j’ai peu de salive et j’ai du mal à avaler. Elle en glisse une autre qui ne passe guère mieux. Ne voyant rien, le fait qu’elle me nourrisse, ne me gène pas car je suis consciente de ne pouvoir le faire seule.
A ce moment un téléphone sonne, la jeune femme décroche prêt de moi devant la cheminée, je reconnais la voix de L, qui dit arriver, ce qui me rassure un peu. Peu de temps après, on sonne à l’interphone, je reconnais la voix de L dans l’entrée. L’homme lui signifie que j’ai été obéissante et que ma tenue est irréprochable. Je suis contente d’avoir fait honneur à mon maître L.
On me fait lever, m’ôte ma jupe puis on me fait m’asseoir sur un coussin prêt du fauteuil où j’étais et où s’assoit la jeune femme. Une bouteille de champagne est ouverte, le bruit me fait tressaillir. Les maîtres discourent mais je n’arrive pas à me concentrer assez pour suivre. Je gamberge sur la suite de la soirée.

La jeune femme me glisse à manger, bizarrement, le goût des aliments vient avec retardement sans la vue. Elle me fait boire dans une fine coupe de champagne, ce qui est loin d’être évident, pencher la tête suffisamment mais pas trop pour absorber le délicieux breuvage.
N’ayant pas mangé et stressé, je sens la tête me tourner très vite.
Lors de la discussion, la jeune femme répond à une question en le ponctuant du nom de son maître « Philippe ». D’un seul coup un éclair jaillit, les pièces du puzzles s’assemblent. Nous sommes chez « Tiffany & Philippe », la pression diminue, mais je me demande toujours à qu’elle sauce je vais être mangée.

Après différents petits fours salés et sucrés, on me fait 4 pattes sur le fauteuil en cuir. Tiffany ôte mes boules de geisha, effleure mon clitoris et caresse l’entrée de mon vagin. Son doigt caresse ensuite l’entrée de mon anus, puis me doigte, ce qui m’excite sur fond de honte du fait de ma position visible de tous.
Tiffany excitée par ce jeu, me fait lever s’assoit dans le fauteuil club et m’attire contre elle entre ses jambes ouvertes. Sa poitrine est découverte, sa peau et délicieusement douce, je lui lèche et tête les seins. Son odeur est très agréable. D’une main ferme, elle pousse ma tête dans son entrejambe Philippe l’interrompt et l’aide à défaire sa jupe. Après quoi, elle me plonge fermement vers son sexe. Son petit toupet sur le mont de vénus étonne mes lèvres. Ma langue se glisse entre ses lèvres et trouve son bouton, qui gonfle quand je le lèche. Elle mouille beaucoup et gémit sous mes caresses ce qui m’excite. Exciter par la situation, Tiffany se rassoit, je la lèche à nouveau. Très vite Philippe nous interrompt, je suis Tiffany le long couloir. Nous entrons dans une pièce, elle me fait pivoter et m’allonge sur le lit recouvert d’un drap en vinyle, dont je reconnais immédiatement la matière. Elle me pousse doucement plus dans le centre du lit. Elle s’agenouille au-dessus de moi et chevauche mon visage pour que je la lèche, m’imposant le rythme qui l’excite, approchant puis éloignant son clitoris de ma langue gourmande. Je m’inquiète un peu car je comprends qu’elle va s’asseoir sur mon visage, comment vais-je respirer, tout en la léchant ? Je suis ses mouvements, mon nez est complètement aspiré dans son sexe. Je crois que Philippe la caresse, il lui murmure que c’est agréable et l’incite à jouir. Puis, je sens soudain de légers filets de liquide sortant de son sexe, me rappelant alors qu’elle est une femme fontaine. Elle prend du plaisir par vague que des filets de liquide me signalent. Il me semble pourtant qu’elle se retienne dans sa jouissance, dois je m’attendre à une douche ? Philippe la connaissant l’a fait s’allonger et me guide vers son entrejambe. Je trouve aisément son clitoris gonflé et décide de la doigter pour accroître le plaisir que je lui donne et la faire jouir. Philippe lui parle toujours l’embrase et la caresse en même temps. Je trouve son point G tout aussi gonflé qui a mon grand étonnement, sous les vagues de son plaisir bascule à l’entrée de son vagin et re-rentre. J’entends comme une grande masse d’eau se vider sur le drap en vinyle, alors que Tiffany gémit de plaisir à plusieurs reprises.
Après quoi on me fait basculer sur le dos et Tiffany se glisse entre mes jambes, sa langue lape mon clitoris et ses doigts vont et viennent dans mon vagin. Très vite, je n’arrive pas à retenir le plaisir qui monte. Je demande l’autorisation de jouir à mon maître qui l’accepte. Je me laisse aller à la douce sensation, qui très vite m’amène à la jouissance qui me fait gémir.
Philippe dit que nous avons le même type de jouissance avec Tiffany. Je ne comprends pas car je ne l’ai pas vu jouir et ne vois pas comment moi-même je réagis sous l’extase.

On me retire alors mon bandeau, j’ai l’impression d’être éblouie par la faible lumière d’une bougie.
Nous retournons au salon discutons de choses et d’autres mon esprit est distrait car je suis encore un peu dans le plaisir tout frais de cette expérience si agréable.

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 14:07
Scénario S & L
mars 2006
 
 

Idéalement il serait bon que vous veniez sur notre terrain car je souhaite que S ne soit pas forcément très à l?aise. Le but étant en particulier de lui faire perdre une partie de ses repères.

 

Pour la tenue une jupe assez large lui permettant de s?asseoir fesses nues en la relevant me semble très adaptée. Pour le reste je te laisse carte blanche. Tu peux en particulier prévoir de l?appareiller si cela te tente, plug, boules de geishas ou autre à ta convenance. Nature elle sera également très bien.

 

Je te propose donc ceci pour le déroulement de la soirée.

 

Premièrement tu dois la mettre en confiance en lui disant qu?elle connaît déjà les gens qu?elle va rencontrer car je souhaite qu?elle ne sache pas qui elle va voir exactement.

 

La première partie de l?épreuve de S sera d?avoir les yeux bandés. Non pas sur tout le trajet bien sur mais lorsque vous approcherez de la porte de Clignancourt, une ou deux portes avant disons, de façon qu?elle ne sache pas trop où tu l?emmènes. Une fois dans notre rue tu nous appelleras sur notre téléphone pour que nous allions récupérer S au pied de la voiture. Je pense que ce sera le rôle de Tiffany à moins que d?ici là je ne trouve une jolie assistante (tu peux penser soubrette si cela te plait) qui accueillerait les invités.

 

Le but pour toi étant bien entendu de te garer assez rapidement mais pas trop tout de même.

 

Tiffany descendra et ouvrira les deux portes de l?immeuble et dirigera S par la main. Elle la guidera dans l?escalier avec le minimum de paroles possible.

Comme tu m?as indiqué que S était systématiquement nue sous sa jupe pour ce type de soirée je demanderai à Tiffany de vérifier cet état de fait avant de la faire pénétrer dans l?appartement ! Si S est aussi sensible que tu le dis aux caresses elle devrait apprécier le contact des mains de Tiffany sur son sexe.

 

A leur entrée je questionnerai Tiffany pour savoir si S a respecté tes désirs et si elle l?a trouvé humide sous ses doigts.

 

Nous dépouillerons S de son manteau et de son sac si elle en porte un et la ferons asseoir dans notre fauteuil en cuir. Elle devra prendre soin de ne pas s?asseoir sur sa jupe (une jupe plissée serait parfaite) et bien entendu, durant le moment d?attente qu?elle passera avec nous, elle ne devra en aucune façon croiser ses jambes. Je pense également interdire à S d?utiliser ses mains. Une attitude docile, mains posées sur les genoux, serait très appréciée. Cependant elle risque d?être tentée et il est possible que nous devions l?immobiliser si nous constatons qu?elle n?arrive pas à laisser ses mains tranquilles. Pour ce faire j?ai quelques cordes de coton blanc qui pourraient se révéler fort utiles.

 

Bien entendu nous la vouvoierons. Mais nous supposons qu?elle a déjà l?habitude de tout cela. Cependant il lui faudra savoir qu?elle sera observée à la loupe et que tout manquement à ces règles sera puni. Je compte sur elle pour qu?elle joue le jeu et qu?elle ne recherche pas la punition dont elle ne connaît pas encore la nature? Je compte également sur toi pour établir une liste de choses, bêtises ou autres, au cours des jours précédents la rencontre et qui pourraient donner lieu à punition. Je te rappelle que nous ne sommes pas très orientés violence mais que Tiffany aime bien donner quelques claques sur des fesses rebondies !

 

Si l?attente se prolonge un peu je demanderai à Tiffany de se placer sur l?un des accoudoirs du fauteuil pour la rassurer pendant que je préparerai, seul ou avec l?aide de mon assistante, de quoi boire et nous nourrir.

 

Gageons cependant que l?attente ne sera pas longue.

 

L?arrivée de Léo sera l?occasion d?ouvrir le champagne et d?apporter dans le salon de quoi manger. Je pense qu?il sera alors bon de changer les positions de nos épouses. S devra se lever et laisser à Tiffany la place dans le fauteuil qu?elle aura chauffé de ses fesses. Elle devra s?asseoir aux pieds de Tiffany, peut être sur un coussin. Peut être sera t?elle à nouveau immobilisée avec des cordes. Je préparerai une assiette pour Tiffany dans laquelle elle piochera pour nourrir S toujours aveuglée. Au cas ou S renâcle pour se faire nourrir je me permettrai peut être d?intervenir pour lui rappeler son devoir d?obéissance. Peut être même me permettrai-je d?ouvrir doucement ses lèvres d?une main pour permettre à Tiffany de la nourrir. Nul doute qu?après quelques petits fours Tiffany aura les doigts garnis de miettes. Elle les présentera alors à S qui devra les lécher pour faire disparaître toute trace. Tiffany aime beaucoup se faire lécher les doigts !

 

Il y a également fort à parier que S aura soif. Là encore ce sera Tiffany qui la fera boire. Elle devra procéder lentement pour ne pas inonder S. Si cela se produisait, je demanderai à Tiffany (qui serait dans ce cas fautive) d?user de sa langue pour nettoyer les dégâts. Et même si elle est suffisamment adroite pour ne rien renverser il faudra à un moment ou à un autre qu?elle la débarbouille. Je pense que le premier réflexe de Tiffany sera d?utiliser soit une serviette soit ses doigts. Je l?en empêcherai alors et lui demanderai d?utiliser sa langue?.

 

Je pense que cela dérapera forcément quand la bouche de Tiffany s?approchera des lèvres de S? Je pense si ce que tu m?as dit est exact que S risque d?être déjà toute mouillée? Tiffany sera chargée de vérifier.

 

Cependant je ne souhaite pas que les choses prennent tout de suite un tour trop érotique rapidement. Il faudra donc jouer un peu la douche écossaise en séparant ces dames si elles deviennent trop goulues?

 

Je pense que tu peux prévoir à ce moment là de rappeler les manquements dont S se serait rendue coupable. Je demanderai à Tiffany si elle-même en a constaté depuis son arrivée. Si tel est le cas il faudra envisager de « punir » S. Je détacherai S si elle est encore entravée de façon que Tiffany puisse la faire lever. Je demanderai alors à ma femme de la déshabiller et de ne lui laisser que quelques éléments de lingerie, ses bas et ses chaussures. Nous la ferons s?agenouiller sur le fauteuil les bras posés sur le dossier. Nous l?immobiliserons. Elle sera ainsi totalement offerte, les fesses bien cambrées.

 

Nous la laisserons attendre un peu en discutant des degrés des punitions qu?elle aura méritées. Je pense que quelques claques sur les fesses seront un bon début. Je suis sur que Tiffany adorera et que les fesses de S prendront bien vite une jolie couleur rose.

 

Toujours avec la même idée de douche écossaise, je crois que Tiffany pourra alors caresser S mais sans la mener jusqu?à l?orgasme. Ou alors dès que S en sera proche elle devra le dire et Tiffany s?arrêtera. Penses-tu que Tiffany pourra aussi tester le goût de S en matière de pénétration anale ? Si tu as des accessoires que S affectionne il sera peut être intéressant de t?en munir pour que Tiffany joue avec?

 

Quand S sera bien excitée je pense que Tiffany le sera aussi, rien ne la trouble plus que ce genre de situation. Il sera alors temps pour S de nous démontrer tous ses talents. Elle reprendra sa place aux pieds de Tiffany et aura pour mission de la satisfaire. Elle aura carte blanche pour les moyens employés. Nous la préviendrons quand même que les jouissances de Tiffany peuvent être très très liquides et qu?elle pourrait en être aspergée?.

 

Imaginons la scène de Tiffany alanguie dans le fauteuil et S présentant sa croupe à notre regard. Si cette scène nous inspire peut être que quelques gouttes de cire tomberont sur ses fesses pendant qu?elle s?active. Elle n?aura bien sur pas le droit de s?interrompre quoi que tu décides de lui faire subir alors (cire, pénétration ou autre?..)

 

Laissons notre imagination compléter les blancs que j?ai volontairement laissés.

 
***
 

Inutile de préciser que je profiterai du spectacle pour faire quelques photos que tu sois arrivé ou pas ! Histoire que vous ayez des images pour vos archives?

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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