Nous connaissons A depuis maintenant plus de cinq ans mais nos dernières soirées coquines passées en commun sont maintenant très anciennes et même si nous sommes en contact régulier par mail et par téléphone nous ne nous étions pas vu depuis près d’un an et demi.
Ainsi quand A nous a invité à une soirée dans son appartement que nous ne connaissions pas nous avons sauté sur l’occasion et convoqué la baby-sitter habituelle de notre fille. Nous sommes parti de chez nous vers 20 h 45 vêtus assez normalement pour ne pas effrayer notre jeune pensionnaire.
Tiffany portait néanmoins une robe chinoise assez courte pour laisser voir la dentelle de ses bas et juste un petit string noir. Comme la soirée était assez fraîche en ce début juillet elle avait passé par dessus un blouson en cuir noir assez ajusté. Je portais mes bottes militaires, un jean et un tee-shirt noir. Dans un sac j'avais placé mon pantalon en cuir, deux corsets et divers accessoires.
La trajet en voiture n’était pas très long bien. Heureusement car le périphérique était particulièrement chargé et que nous souhaitions arriver tôt pour pouvoir discuter un peu avec elle avant qu’elle ne soit happée par le tourbillon de la soirée.
En plus coup de chance nous avons trouvé une place juste devant chez notre hôtesse car avec ses talons et sa robe ultra courte elle aurait fatalement fait sensation...
Nous avons donc découvert l'appartement d'A dans lequel nous allions pour la première fois.
Assez vaste et peu meublé genre camping de luxe avec une quantité incroyable de bouquins, surtout des mangas, dans les bibliothèques accessibles, certaines étant pudiquement voilées de noir. Que cachent ses bibliothèques ? Mystère.
Seuls J et M que nous connaissions déjà étaient déjà sur place, installés dans ce qui à l’origine devait être un grand salon salle à manger et dont A avait reconverti une partie en bureau. Les doubles portes séparant les deux pièces ayant été enlevées elle avait ainsi créé une sorte d’alcôve dans chaque pièce. Nous étions installé dans la première sur des fauteuils grand siècle recouverts de velours rouge sombre. Dans le bureau d’A un canapé futon devait servir à faire dormir d’éventuels invités. Mais revenons aux personnes présentes.
M est une version déjantée de Louise Brooks dont elle a la coupe de cheveux et le style.
Elle était à peine vêtue d'une combinaison en résille, d'un string et de quelques fanfreluches noires.
A portait un pantalon et un haut en vinyle hyper moulant. Le haut étant ouvert sur un balconnet noir et rose ayant bien de la peine à contenir sa somptueuse poitrine.
Nous avons papoté un peu de choses et d'autres au rythme des arrivées.
Le problème qui est apparu assez vite c'est que des invités avaient eux même invité des personnes peu connaisseuses du milieu SM et plutôt intéressés par l’échangisme. Certes les demoiselles étaient jeunes et jolies mais le "dress-code" fixé par A c’est à dire cuir, vinyle, corsets et autres tenues fétichistes était sérieusement écorné. Malgré cela deux couples sortaient du lot, à part nous bien sur! Finalement, le champagne qui coulait à flot aidant, la soirée ne s'annonçait pas si mal. Le premier couple, C et O, respectait le "dress-code" à la lettre. Elle petite, fine, les cheveux sagement attachés en chignon, portant une jupe en cuir noir et un corset de la même couleur. O grand et tout de noir vêtu portait également un pantalon de cuir. En effet j'avais été troqué, dès notre arrivée, mon jean contre mon pantalon en cuir mais Tiffany avait conservé sa robe chinoise me laissant le soin de la rhabiller en cours de soirée. L’autre couple le plus remarquable était composé d’un grand asiatique lui aussi vêtu de cuir nommé Ray et d’une grande jeune femme visiblement d’origine méditerranéenne et dont j’ai oublié le prénom. Elle dérogeait elle aussi à la règle vestimentaire mais son "cat-suit" et son string de résille blanc étaient quand même bien plaisant à l’œil.
A nous a glissé que C et O avaient participé le week-end précédent à un film tourné par Francis dans lequel C avait été livrée à cinq hommes sans être au préalable prévenue de ce qui allait lui arriver. Dans la conversation j’ai indiqué à A que j’avais apporté avec moi deux corsets, un pour Tiffany et un autre dont je pourrais habiller un des mannequins présents dans l’appartement. Comme A trouvait l’idée agréable je disparu quelques minutes dans sa chambre le temps de lacer le corset sur le mannequin que j’avais choisi. A mon retour A me demanda de placer le mannequin dans le salon pour que tout le monde puisse admirer le corset violet que j’avais choisi.
Je rejoignis Tiffany qui était en grande discussion avec M et C justement à propos de corsets. Je me mêlais quelques minutes à la conversation avant de faire remarquer à Tiffany que sa tenue pouvait facilement être mise en harmonie avec celle de C. Tiffany m’a suivi dans la chambre d’A pour y changer de tenue. La robe chinoise a vite rejoint le sac en toile contenant les accessoires et je l’ai aidée à passer le corset rouge que j’avais choisi. Je l’ai noué assez serré de façon à lui faire une taille très fine. Pour compléter sa tenue j’ai choisi une petite jupe en vinyle qu’elle n’avait jamais portée. Nous sommes revenus dans le salon et Tiffany a pu faire admirer son corset. La discussion s’était poursuivie entre M, O et C. Tiffany trouva une place sur un des fauteuils. Le dos maintenu bien droit par les baleines Tiffany avait du mal à atteindre les petites choses à grignoter qui encombraient la table. Elle demandait donc à M qui s’était assise à ses côtés de lui passer tel ou tel aliment. Et ce qui devait arriver arriva : Tiffany finit par renverser un bol de pistaches que tenait C. Devant le désastre je n’eus pas le temps de demander à Tiffany de ramasser que M s’était agenouillée et ramassais les pistaches en prenant les poses les plus à même de mettre son cul en valeur. O lui assena quelques très légers coups de cravaches et Tiffany tendit la main pour caresser les fesses qui se trémoussaient devant son nez. M, fidèle à son personnage, ronronnait en réclamant plus de claques sur les fesses. Pour inciter ma compagne à l’action elle déchira elle même en partie le collant protégeant son fessier dévoilant sa peau mate et permettant aux coups de marquer d’avantage.
Je ne sais pas par quel biais C est entrée dans le jeu mais quelques minutes après les premières claques sur les fesses de M, C et elle se retrouvèrent dans l’autre partie du salon dans laquelle A avait opportunément déployé le canapé qui était recouvert d’un drap de vinyle noir. Toujours est il que C s’était à demi assise, à demi étendue sur le futon, le dos contre le mur, avait troussée sa jupe en cuir sous laquelle elle était nue et M, à genoux entre ses cuisses lapait à petits coups de langue le sexe épilé et orné de deux anneaux qui lui était présenté.
Tiffany était debout à mes côtés pour profiter du spectacle. A ma demande elle retira son string pour que je la caresse un peu. J’empochais les quelques grammes de dentelle et glissais ma main sous le vinyle de la jupe. La vue du cul de M toujours offert appelait à nouveau des mains secourables pour le caresser ou le fesser. C’était évidemment le rôle attribué à Tiffany qui alternait frôlements et coups sur ce superbe fessier. Le collant fut déchiré quasi intégralement par les mains de ma compagne pendant que C commençait à gémir bruyamment sous les caresses de M. C avait d’ailleurs pris une position assez acrobatique en levant très haut sa jambe gauche qu’elle soutenait de main offrant ainsi aux regards et à M son sexe béant. Sa pose était celle d’une exhibitionniste pratiquante ou d’une actrice porno en manque de caméra ou d’appareils photo. Pendant que C grimpait vers un orgasme bruyant, Tiffany avait débarrassé M de son string et avait glissé ses doigts dans le sexe épilé qu’elle avait dévoilé.
C jouit vite et très fort sous les caresses de M. Une jouissance un peu théâtrale mais apparemment réelle. Elle se redressa juste après son orgasme et embrassa M pour la remercier. M se tourna alors vers Tiffany en lui disant qu’elle allait maintenant s’occuper d’elle. Tiffany pris la place de C et je pense, connaissant les goûts de ma femme, que M la trouva déjà bien trempée à la suite du spectacle auquel elle venait d’assister. Je ne me trompais pas et M le fit remarquer à haute voix ce qui incita C à la rejoindre pour des caresses à quatre mains. Je m’approchais à mon tour du trio et m’agenouillais pour glisser un doigt entre les fesses de Tiffany. Elle était maintenant en équilibre sur les bras et les pieds comme pour former ce qu’en gym on appelle un pont. Tiffany était en effet ruisselante, complètement trempée sous l’effet de l’excitation. Les quelques coupes de champagne n’étaient peut être pas étrangères à cet état mais les doigts de M qui pénétraient dans le sexe béant de ma femme étaient indéniablement la cause principale de son humidité. Je glissais quelques mots à l’oreille de M pour la prévenir du caractère autant humide des jouissances de Tiffany puis revins me placer en spectateur jugeant que ces dames n’avaient plus besoin de moi. De mon poste d’observation je vis rapidement quelques jets venir s’écraser sur le vinyle et Tiffany jouir très vite sous l’effet de caresses de M. Lorsqu’elle sortit ses doigts du sexe de Tiffany toute sa main et son avant bras brillaient du plaisir liquide de ma femme et, même si je l’avais prévenue, elle fut néanmoins surprise par la quantité de liquide qui accompagne l’orgasme de Tiffany. Elle reçut le même baiser de la part de Tiffany que celui donné par C et toutes deux rejoignirent le reste de l’assemblée, C quant à elle se prosternant aux pieds d’O qui cinglait ses fesses de petits coups de cravaches.
Je fis remarquer à Tiffany que dans son plaisir elle avait déplacé une partie du drap en vinyle destiné autant à satisfaire les fétichistes de cette matière qu’à protéger le canapé et qu’elle avait inondé une partie du futon. Je lui demandais d’aller s’excuser auprès d’A pour cette bêtise. Bien évidemment notre hôtesse ne lui en tint pas rigueur mais voulu vérifier elle même l’étendue de l’humidité de mon épouse. Elle glissa une main sous la jupe de Tiffany et écarquilla les yeux de surprise. Pourtant elle avait eu l’occasion de faire jouir Tiffany aussi intensément mais peut être l’avait elle oubliée.
Nous reprîmes notre conversation dans le salon sans M mais avec Francis arrivé entre temps qui nous expliqua avoir fait tourner C le week-end précédent dans un film X dans lequel elle était livrée à cinq hommes. Sa faculté à jouir de façon quasi ininterrompue avait d’ailleurs fait merveille. Cette capacité de certaines femmes à avoir des orgasmes multiples fut notre sujet de conversation pendant quelques minutes jusqu’à ce que certains bruits nous attirent à nouveau dans le bureau d’A.
C à genoux et débarrassée de sa jupe y subissait une flagellation en règle de la part d’O. Les coups avaient l’air de ranimer son plaisir. Nous voyant arriver O nous demanda si Tiffany souhaitait utiliser la cravache. Tiffany refusa d’un mouvement de tête et se plaça derrière C pour lui administrer une fessée. Elle avait cependant perdu l’habitude et ses coups étaient un peu désordonnés et sa main pas assez souple. Mais elle retrouva vite le rythme et les fesses de C prirent rapidement une couleur incarnat. Mais apparemment cela ne suffisait pas à C qui en demandait d’avantage. Voyant cela, Ray qui s’était approché de la scène tendit à Tiffany un martinet garni de nombreuses et fines lanières. L’essai ne fut cependant pas concluant, Tiffany marquant d’expérience dans le maniement de cet objet. Elle laissa donc la place au propriétaire du martinet qui nous fit une démonstration de ses talents. Il commença doucement par quelques coups sur les fesses comme pour chauffer le corps de C puis, un second martinet dans sa main gauche, il alternait les coups, croisant de temps en temps les lanières sur les fesses. Il appuya bien vite ses coups de plus en plus et de blanc marbrées de rouge léger les fesses devirent d’un rouge uniforme et soutenu.
J’ai abandonné quelques instant le spectacle pour aller me restaurer et lors de mon retour le duo C / Ray s’était transformé en trio par l’adjonction de la compagne de Ray. Cette dernière était debout devant C maintenant complètement nue à l’exception de ses bottes, lui servant de soutien et de croix de Saint Andrée vivante. Les lanières des martinets parcouraient maintenant la peau de C des cuisses jusqu’aux épaules et les gémissements de la belle avaient repris aussi sonores que lors de l’intervention de M. Les lanières flagellaient en rythme la peau bronzée qui prenait une teinte de plus en plus sombre. Ray se servait de ses instruments comme de deux nunchakus et le résultat en plus d’être efficace était très esthétique. Trop peut être au goût de certains mais qu’importe le résultat était là. L’amie de Ray s’était baissée et une de ses mains s’était emparée du sexe de C que Ray épargnait avec art. Les gémissements gagnèrent en intensité. Quand caresses et coups se synchronisèrent enfin C jouit une seconde fois, plus violemment cette fois mais tout aussi bruyamment.
Tiffany n’avait pas quitté la scène des yeux une seule seconde et pour une fois je la sentais prête à échanger son rôle de sage dominatrice pour celui de la flagellée alors que la plupart du temps elle a un rejet instinctif des fouets, cravaches et autres paddles. Ses yeux brillaient et quand je lui posais la question pour savoir si elle aurait aimé essayer sa réponse fut sans ambiguïté :
- Pas maintenant, mais un jour peut être
Avec Ray et A nous avons un peu discuté de nos goûts respectifs et ayant repéré une fine baguette de bois recourbée en forme de crosse j’indiquais à mes interlocuteurs que j’aimais beaucoup les marques que laissait les tiges de bois ou d’osier même si elles marquaient d’avantage que les lanières. A, qui avait profité de la conversation pour défaire en partie la fermeture éclair de son pantalon en vinyle exhibait maintenant assez largement ses fesses toujours aussi superbes et son sexe lisse car, bien sur, elle était nue sous son pantalon. Profitant de lui demandais de me montrer ses piercings génitaux, ne les ayant vu qu’en photo, ce qu’elle fit de fort bonne grâce. Elle m’expliqua qu’elle allait tenter de faire remplacer les anneaux par des barres de façon à former comme une grille interdisant l’entrée de son sexe ne laissant libre que la porte étroite de ses fesses, entrée qu’elle avait, prétendait-elle, toujours préférée.
Tiffany vint me chercher sur ces entre faits car il était déjà relativement tard et nous devions rentrer relever la baby sitter.
Nous avons rapidement pris congé de tout le monde, j’ai aidé Tiffany à ôter son corset et sa jupe et lui ai repassé sa robe chinoise mais en gardant son string dans ma poche.
Une fois dans la voiture et le périphérique atteint, je lui ai demandé de trousser sa robe le plus haut possible sans la faire exploser et j’ai terminé le voyage du retour la main droite enfouie dans son sexe ruisselant. Une fois arrivés chez nous et notre jeune voisine partie, la bouche de Tiffany m’a libéré de toute mon excitation me permettant ainsi de la rejoindre dans le plaisir.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires