Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 14:11

Mars 2006

Soirée Spéciale Tiffany & Philippe


L a prévu depuis quelques semaines, d’une soirée spéciale en brouillant les pistes, pour que je ne sache pas le lieu, les personnes que nous rencontrerons et le planning de la soirée. Je sais juste que nous avons rendez-vous vers 21h30 dans le nord de Paris.
Après ma douche, je me prépare en essayant de penser à autre chose. L s’amuse gentiment à me stresser en me rappelant que je ne sais rien de la soirée. L a plus que d’habitude encore porté une attention particulière à ma tenue, insistant sur le fait que je porte des bas coutures retenus par mon porte jarretelle en vinyle sous le serre taille haut laissant mes seins accessibles, ma mini jupe en cuir et mon blouson en vinyle. Il me place mon collier le plus contraignant, en acier épais, qu’il faut attacher ou défaire avec une pince. En jetant un œil dans le miroir, je trouve ma tenue sexy du fait que ma taille soit ainsi affinée. J’espère plaire là où je vais ainsi vêtue.

Sur le périphérique, bien que m’y attendant L me demande de mettre un bandeau en latex épais sur les yeux pour que je ne devine pas où nous nous rendons. Très vite les mouvements de la voiture me donnent mal au coeur. J’écoute le navigateur répété des droites répétées puis des gauches répétées. Après ce tour de quartier, L s’arrête, déverrouille les portes de la voiture. J’entends le déclic qui débloque ma ceinture de sécurité. L me précise que je dois me comporter et obéir comme s’il était présent. Cette petite phrase me fige et me terrorise au moment où ma porte s’ouvre. Je m’agrippe à mon sac, comme à une bouée, une main attrape mon autre main. Sa largeur et sa poigne me font penser à Alex mais la voix est différente et je ne reconnais pas ce timbre, ce qui augmente ma peur. J’ai l’impression d’être sur un parking, du fait du bruit d’autres voitures. Je trébuche sur une marche et sens des mains gantées féminines qui se saisissent de mes mains. La voix féminine me salue mais je ne la reconnais pas plus que la voix masculine. Plus aucun mot n’est prononcé par le couple. Mon cerveau s’emballe est-ce un couple SM à qui je suis confiée ou bien libertin ? Où me conduisent-ils ?

L va-t-il nous rejoindre? Je n’ai pas le temps d’y penser trop concentrer sur les mouvements à effectuer. Nous passons une porte, j’entends mes pas raisonnés dans une entrée que je suppose carrelée. La voix féminine me désigne le pied de l’escalier d’entrée et ses mains me guident pour monter. Au niveau du 2ème étage nous nous arrêtons et l’homme ouvre la porte d’entrée, la jeune femme me guide grâce à ses mains dans un appartement. Ils me font glisser dans une pièce, où se dégage une chaleur sur le côté gauche le crépitement qui émane de cet endroit me laisse déduire que nous sommes dans un salon avec une cheminée. Un encens ou une bougie dégage une odeur chaude qui emplie la pièce. L’homme prend mon sac et me débarrasse de mon manteau, ainsi que celui de sa compagne. J suis plus où moins figée comme une statue. L’homme lui demande de vérifier ce qui était convenu. La jeune femme s’exécute prestement, glisse sa main fraîche le long de mes cuisses qu’elle écarte un peu.
J’apprécie que ce soit elle qui se charge de cette tâche. Je suis étonnée et amusée que l’on souhaite vérifier si vite que j’obéisse à ces personnes qui sont pour l’heure mes maîtres, et que je sois convenable comme soumise sans sous-vêtement. J’ai en même temps très honte d’avoir glissé un mouchoir entre mes fesses de peur de soucis suite au lavement effectué avant de partir. Je le tend penaude m’excusant platement de donner une chose aussi sale à un Maître, m’attendant à une remontrance. Les doigts de la jeune femme effleurent et caressent légèrement mon sexe, que j’espère le plus doux possible pour lui plaire. Elle effleure le cordon des boules de geisha que L m’a ordonné de glisser dans mon vagin pour que les vibrations m’excitent. La jeune femme confirme que je suis conforme aux attentes.
L’homme, il me semble, lui demande de s’arrêter là. Elle me guide alors jusqu’à ce qu’elle me précise être un fauteuil, elle me fait pivoter et m’aide à m’asseoir. Je sens la douceur du cuir sous mes doigts. La jeune femme revient pour soulever ma jupe pour que, semble-t-il, je m’assois directement sur le cuir du fauteuil. J’espère ne pas tâcher de mes sucs. La douceur du cuir et sa douce chaleur sous mes fesses m’excitent.

Le stress monte, je me concentre à conserver mes jambes décroisées comme me l’a demandé L avant de descendre de la voiture ; je dois lui faire honneur. L’homme me demande si je vais être obéissante, je lui réponds positivement et respectueusement par « Oui Maître ». Je souhaite lui montrer autant de respect que je dois à L. Il me demande si je sais où je suis et qui ils sont, j’avoue respectueusement que « non Maître ». Je sens comme un sourire d’amusement et un certain plaisir dans une respiration de l’homme.
Il me semble que mes mains sont gelées et brûlantes à la fois. Je les pose bien à plat sur mes genoux, trouvant cette position jolie à voir. Je sens la présence de la jeune femme, l’homme s’est il me semble éclipser de la pièce, pourquoi, y a-t-il d’autres personnes, l’endroit me paraît être un appartement calme, mais qu’en est-il vraiment ?
Le silence règne, ce qui ne m’aide pas à trouver où je suis et qui est ce couple. Est-ce que je les connais vraiment, mais leur voix ne m’évoque rien. Ce calme extérieur fait contraste au bourrasque et mille questions qui se télescopent dans mon esprit en feu. Pour finalement avoir le calme aussi à l’intérieur, j’ai l’impression que mon cerveau se débranche faute de trouver de réponses. Je m’accroche à la confiance totalement aveugle que j’ai en L.
Je m’étonnes d’avoir été assise et m’attends à tout moment à ce qu’on me demande de m’agenouiller ou que l’on me jette sur le sol. Des plats sont posés sur la table dont le revêtement en verre résonne. J’essaye de contrôler ma respiration. Pour m’aider à mieux respirer, la jeune femme dézippe un peu mon blouson. Je la remercie et reconnais que le corset en dessous n’aide pas.
L’homme demande si je conviens à la jeune femme, qui répond par l’affirmative. Je me sens flatter de lui plaire et souhaite lui faire plaisir. La jeune femme me demande si j’aime les tomates, je lui dis que oui, elle me dit que c’est L qui n’aime pas. Je ne tilt même pas que donc nous nous connaissons. Elle prend alors une tomate cerise et me la pose sur les lèvres. Je suis tellement stressée que j’ai du mal à mâcher, j’ai peu de salive et j’ai du mal à avaler. Elle en glisse une autre qui ne passe guère mieux. Ne voyant rien, le fait qu’elle me nourrisse, ne me gène pas car je suis consciente de ne pouvoir le faire seule.
A ce moment un téléphone sonne, la jeune femme décroche prêt de moi devant la cheminée, je reconnais la voix de L, qui dit arriver, ce qui me rassure un peu. Peu de temps après, on sonne à l’interphone, je reconnais la voix de L dans l’entrée. L’homme lui signifie que j’ai été obéissante et que ma tenue est irréprochable. Je suis contente d’avoir fait honneur à mon maître L.
On me fait lever, m’ôte ma jupe puis on me fait m’asseoir sur un coussin prêt du fauteuil où j’étais et où s’assoit la jeune femme. Une bouteille de champagne est ouverte, le bruit me fait tressaillir. Les maîtres discourent mais je n’arrive pas à me concentrer assez pour suivre. Je gamberge sur la suite de la soirée.

La jeune femme me glisse à manger, bizarrement, le goût des aliments vient avec retardement sans la vue. Elle me fait boire dans une fine coupe de champagne, ce qui est loin d’être évident, pencher la tête suffisamment mais pas trop pour absorber le délicieux breuvage.
N’ayant pas mangé et stressé, je sens la tête me tourner très vite.
Lors de la discussion, la jeune femme répond à une question en le ponctuant du nom de son maître « Philippe ». D’un seul coup un éclair jaillit, les pièces du puzzles s’assemblent. Nous sommes chez « Tiffany & Philippe », la pression diminue, mais je me demande toujours à qu’elle sauce je vais être mangée.

Après différents petits fours salés et sucrés, on me fait 4 pattes sur le fauteuil en cuir. Tiffany ôte mes boules de geisha, effleure mon clitoris et caresse l’entrée de mon vagin. Son doigt caresse ensuite l’entrée de mon anus, puis me doigte, ce qui m’excite sur fond de honte du fait de ma position visible de tous.
Tiffany excitée par ce jeu, me fait lever s’assoit dans le fauteuil club et m’attire contre elle entre ses jambes ouvertes. Sa poitrine est découverte, sa peau et délicieusement douce, je lui lèche et tête les seins. Son odeur est très agréable. D’une main ferme, elle pousse ma tête dans son entrejambe Philippe l’interrompt et l’aide à défaire sa jupe. Après quoi, elle me plonge fermement vers son sexe. Son petit toupet sur le mont de vénus étonne mes lèvres. Ma langue se glisse entre ses lèvres et trouve son bouton, qui gonfle quand je le lèche. Elle mouille beaucoup et gémit sous mes caresses ce qui m’excite. Exciter par la situation, Tiffany se rassoit, je la lèche à nouveau. Très vite Philippe nous interrompt, je suis Tiffany le long couloir. Nous entrons dans une pièce, elle me fait pivoter et m’allonge sur le lit recouvert d’un drap en vinyle, dont je reconnais immédiatement la matière. Elle me pousse doucement plus dans le centre du lit. Elle s’agenouille au-dessus de moi et chevauche mon visage pour que je la lèche, m’imposant le rythme qui l’excite, approchant puis éloignant son clitoris de ma langue gourmande. Je m’inquiète un peu car je comprends qu’elle va s’asseoir sur mon visage, comment vais-je respirer, tout en la léchant ? Je suis ses mouvements, mon nez est complètement aspiré dans son sexe. Je crois que Philippe la caresse, il lui murmure que c’est agréable et l’incite à jouir. Puis, je sens soudain de légers filets de liquide sortant de son sexe, me rappelant alors qu’elle est une femme fontaine. Elle prend du plaisir par vague que des filets de liquide me signalent. Il me semble pourtant qu’elle se retienne dans sa jouissance, dois je m’attendre à une douche ? Philippe la connaissant l’a fait s’allonger et me guide vers son entrejambe. Je trouve aisément son clitoris gonflé et décide de la doigter pour accroître le plaisir que je lui donne et la faire jouir. Philippe lui parle toujours l’embrase et la caresse en même temps. Je trouve son point G tout aussi gonflé qui a mon grand étonnement, sous les vagues de son plaisir bascule à l’entrée de son vagin et re-rentre. J’entends comme une grande masse d’eau se vider sur le drap en vinyle, alors que Tiffany gémit de plaisir à plusieurs reprises.
Après quoi on me fait basculer sur le dos et Tiffany se glisse entre mes jambes, sa langue lape mon clitoris et ses doigts vont et viennent dans mon vagin. Très vite, je n’arrive pas à retenir le plaisir qui monte. Je demande l’autorisation de jouir à mon maître qui l’accepte. Je me laisse aller à la douce sensation, qui très vite m’amène à la jouissance qui me fait gémir.
Philippe dit que nous avons le même type de jouissance avec Tiffany. Je ne comprends pas car je ne l’ai pas vu jouir et ne vois pas comment moi-même je réagis sous l’extase.

On me retire alors mon bandeau, j’ai l’impression d’être éblouie par la faible lumière d’une bougie.
Nous retournons au salon discutons de choses et d’autres mon esprit est distrait car je suis encore un peu dans le plaisir tout frais de cette expérience si agréable.

Par Tiffany et Philippe - Publié dans : Jeux de société
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